27 décembre 2010

Salée ...

... et vachement sexy.



J'ai un faible pour la Jolie.



Surtout lorsque je suis en bonne compagnie sur mon sofa avec d'un côté un feu de foyer et de l'autre l'écran ...

26 décembre 2010

Petit Papa Noel avait une surprise pour moi dans sa poche ...




Imaginez deux jouvencelles, les meilleures amies du monde. L'une d'elles très délurée, la coqueluche des garçons du collège, se livre avec eux à toutes sortes de coquineries, mais sans franchir certaines bornes, car elle veut garder son pucelage pour son futur mari. L'autre donzelle, en revanche, ne tolère aucune familiarité de la part de ses condisciples mâles... tout juste si elle accepte de flirter, et encore ! Et si les apparences étaient trompeuses ? Si la plus dévergondée des deux n'était pas celle qui retire si souvent sa culotte au cinéma, ou en voiture... Si la timide pécore qui rougit dès qu'on parle de sexe était au contraire un monstre de perversité, si elle avait un esclave sexuel ? À elles deux, c'est à qui inventera les sévices les plus cruels — et les plus délicieux — pour torturer et utiliser leur homme à tout faire.

25 décembre 2010

Joyeux Noel !

Un signe de vie, ça vous suffit comme cadeau ?

18 août 2010

Le grand orme

La petite chienne frissonne. Elle n'a pas froid. Son Maître l’attend tout simplement près de la porte, dans le hall d'entrée. Elle le sait car elle a entendu les maillons de la chaîne s'entrechoquer lorsqu'il l'a prise dans ses mains. Ce son, celui de la laisse, elle le connaît bien. Il est annonciateur d'une balade à l'extérieur.


Elle porte les mains à son cou. Son collier y est bien en place. Serré et solide. Elle ferme les yeux un instant et pose le couteau sur le comptoir de la cuisine avant de se mettre à quatre pattes. La confection du repas attendra.


Elle se rend ainsi vers son maître qui l’attend en souriant. Il est si fier de la petite chienne qu'il a dressée. Obéissante et attentive au moindre son qui lui dicte sa conduite.


Elle est nue. Elle l'est toujours en sa présence. Il aime poser son regard sur elle à tout moment et rien ne doit lui être caché. En s'arrêtant sur la paillasse aux pieds de son maître, elle songe au vent qui bientôt caressera sa peau dénudée. Elle pense à l'air frais qui lui semblera si froid sur son sexe trempé. Elle anticipe la dureté de ses mamelons qui se crisperont dès qu'elle franchira la porte.


- "Viens ! " dit-il en attachant la chaîne à son collier. "Un peu d'air te fera du bien, petite chienne en chaleur."


Son visage s'empourpre. Ainsi son maître n'a rien raté du désir qui la dévore ! Elle est arrivée chez lui depuis bientôt deux jours, profitant d'un long congé pour le retrouver. Elle lui a donné du plaisir. Elle lui a offert sa bouche et son cul. Il l'a caressée, agacée, excitée. Elle a tant envie de jouir. Sa chatte étant restée vide. Si vide.


Le maître tire sur la laisse, la tirant de ses pensées. Ils franchissent la porte et se retrouvent sur l'herbe. Ne sachant ce que son maître attend d'elle, elle le suit de très près. Se laissant guider par les pas de celui qui tient la laisse.

Ils traversent le terrain et se dirigent à l'orée du bois. Elle s'énerve soudainement. Va t-il la guider au grand orme ?

Il guette la chienne, un sourire en coin. Il s'amuse de la voir se trémousser ainsi à ses côtés. Il sait qu'elle n'en peut plus. Que le désir l'a gagnée depuis plusieurs heures déjà. Que le jus de sa chatte ruisselle constamment entre ses cuisses. Il la maintient dans cet état d'excitation depuis trop longtemps. Elle a supplié il y a quelques minutes de lui permettre de jouir enfin. Mais il l'a envoyé à la cuisine. Elle a soupiré et obéi.

Chaque pas qui les rapproche de l'arbre renforce son excitation. Et s'il ne faisait que lui passer sous le nez ? Et si quelqu'un la voyait ? Et si ...

Arrivés au pied de l'orme, elle lève son regard interrogateur vers son maître.

- Mais qu'est-ce que tu attends, chienne ?

Elle fait rapidement le tour de l'orme et trouve le godemiché qui a été cloué au tronc à quelques pouces du sol. Un organe de 8 pouces en silicone retenu à l'arbre par les couilles. Elle le renifle. Le lèche. L'embouche. Le mouille.

Elle entend son maître ricaner mais déjà elle n'y prête plus attention. La bête a pris le dessus. Elle se retourne et tends son derrière. Le gland trouve son clito. Elle s'y frotte. L'englue. Et d'un trait elle s'empale sur le jouet. Un gémissement sort de sa bouche, puis un autre, et un autre. Elle bouge et se baise, à 4 pattes, dehors, nue. Aux pieds de son maître qui tiens la laisse en s'amusant de la voir ainsi s'abaisser, prendre son plaisir.

Elle bouge de plus en plus vite. Elle craint qu'il l'arrête avant qu'elle n'ait joui. Qu’il tire sur la laisse et la prive de l'orgasme, la laissant encore plus frustrée. Elle se baise profondément, durement, un peu bestialement. Elle court vers la jouissance et enfin la voilà. Sn corps se crispe, se tends, s'effondre.

Mais elle n'a pas le temps de reprendre son souffle déjà une tension sur la laisse se fait sentir ...

Qui l'eut cru ?

4 ans déjà !

Moi j'y croyais en tout cas !

16 août 2010

Ah Guillaume !!!

Menoum ! Peu importe le look.



Ce n'est pas la première fois (et certainement pas la dernière) que tu me fais cet effet !

On se gâte sur grand écran à nouveau

Ouep !

J'y crois !






Jolie pub ...

06 août 2010

Le plan était simple



Merci les sexyboys pour la belle soirée d'été passée en votre compagnie !



Another day is going by
I'm thinking about you all the time
But you're out there
And I'm here waiting
And I wrote this letter in my head
Cuz so many things were left unsaid


I'm trying to forget that
I'm addicted to you
But I want it and I need it
I'm addicted to you

01 août 2010

Oeufs

Elle prépare un gâteau. C’est son Maître qui lui en a donné l’ordre. Elle cuisine souvent mais rarement dans cet accoutrement. Elle est nue sous son tablier de cuisinière au style un peu vieillot. Il est noué sur ses reins ne couvrant rien de son fessier rougi par la fessée qu’elle a reçu plus tôt. Elle porte des souliers à talon haut qui lui comprime les pieds et la déséquilibre.


Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.


Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.


Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.


Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »


Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.


Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.


« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »


Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.


Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »


Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.


Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.


Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.


Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.


Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.


« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »


Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.


« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »

30 juillet 2010

J'aime la canelle et Cindy

Je n'ai jamais douté des vertues aphrodisiaques de la canelle. Adolescente, il me suffisait de macher un chewing-gum a la canelle pour que tous les jeunes mecs croisés dans la rue me paraissent appétissants.

J'aime aussi Cindy, ou plutot les sextoys dont elle garni sa boutique. Il était grand temps que je découvre que Cindy Cinnamon a maintenant un blog et que mon sexshop préféré a une boutique en ligne digne de ce nom.

29 juillet 2010

Plaisir oral

"Aujourd'hui, je t'offre ma bouche, ma langue et mes dents." Il ne pouvait être plus clair. Sa soumise avait bien saisi le message.

Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.

Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …

Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...

.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.

Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.

Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.

Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.

Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.

Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.

Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.

Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.

Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.

La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.

D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.

Honteuse, elle fige un instant.

« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »

Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.

Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.

Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.

« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »

La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...

Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.

« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »

Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.

« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »

À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.

« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »

Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.

Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.

En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.

« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »

« Merci Maître » murmure t’elle doucement.

27 juillet 2010

Se branler avec l'argent de mère-grand

Y'a un coeur dans mon corps en chaleur.

Mère-grand ne cuisine plus. J'aime bien cuisiner un peu plus que nécessaire et remplir son réfrigérateur de petits plats qu'elle n'aura qu'à réchauffer le moment venu.

Comme je refuse toujours qu'elle m'offre quelque compensation monétaire que ce soit, il lui arrive de glisser un billet à mon insu dans les contenants qu'elle me retourne toujours duement lavés et prêts a recevoir un nouveau repas.

Je caresse le billet innattendu entre mes doigts en souriant doucement. Qu'achèterais-je avec cet argent ? Un nouveau vibro ? J'en ai déja trop. Un bon bouquin érotique sur lequel je me branlerai longuement? Probablement.

Une chose est certaine. Je jouirai avec l'argent de Mémé. Parfois le bien et le mal semblent se faire un clin d'oeil au passage ...

Chica Bomb de Dan Balan

02 juin 2010

Pensée du jour

Une femme amoureuse en vaut cent. Elle peut, en se donnant a celui qu'elle a choisi, faire de lui son égal, voire son esclave. Le désir de la femme a toujours été perçu, et sous toutes les latitudes, plus fort, plus ensorcelant, plus mystérieux que le désir des hommes


Laure Adler dans Les femmes qui aiment sont dangereuses

Lazlo

Définitivement différent.

Et c'est ce que j'aime dans les oeuvres du photographe Lazlo.

Ce n'est qu'un échantillon qui ne vous montre pas l'ampleur de sa différence. Pour en voir plus, visitez lazlo-photo.com



30 mai 2010

Not Myself Tonight (Christina Aguilera)

Passez le mot !

Bonjour !!!!

Voici un communiqué de presse susceptible de vous intéresser, je me permets d'attirer votre attention sur la LOVE MAP !

Communiqué de presse - Mai 2010

Le Roi de la Capote propose Préservatif, l'application gratuite sur iPhone !

Découvrez la première application au monde dédiée aux préservatifs et proposant une Love Map ! La technologie au service du plaisir, véritable innovation signée Le Roi de la Capote.com (www.leroidelacapote.com).

L'application Préservatif, le bijou de technologie du Roi de la Capote.com.

Conçue et produite par Le Roi de la Capote.com, l'application Préservatif, permet de recevoir des promotions spécifiques sur votre iPhone ou iPod Touch, de consulter l'ensemble des préservatifs et des lubrifiants disponibles sur le site Le Roi de la Capote.com.

L'application vous permet également de commander directement vos préservatifs préférés ou d'être rappelé pour finaliser vos achats. Recevez les dernières news du blog, avec ses notifications et profitez d'un calculateur de concordance des tailles pour vous aider à mieux choisir vos préservatifs.

Et enfin, découvrez et participez à la Love Map !

La Love Map tout un programme ! Véritable innovation du Roi de la Capote, la Love Map permet de découvrir la vie amoureuse des français. Participez à la carte de l'amour et contribuez à l'évolution statistique de la sexualité en France. De votre quartier à la France entière, découvrez les zones les plus pratiquantes du rite sexuel... Consultez la Love Map et planifiez votre prochaine destination de vacances, par exemple !

Fonctionnalités d'une application sérieuse et complète.

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L'application Préservatif a été développée par la société Qualia Systèmes (http://www.qualia.fr/), rendez-vous sur l'App Store de iTunes pour télécharger l'application.

Pour plus de renseignements sur l'application Préservatif : http://itunes.apple.com/fr/app/preservatif/id349095959?mt=8

ou directement sur le site du Roi de la Capote : http://www.leroidelacapote.com/iphone.php

Nous restons à votre disposition pour de plus amples informations (visuels, interview du fondateur du site Marc Pointel...).

A bientôt.

Eloi

Lothar Kater Kosz

Les images suffiront a vous présenter le photographe berlinois Lothar Kater Kosz.

Si vous appréciez autant que moi, voici l'adresse pour s'extasier sur ses autres oeuvres: http://www.lotharkaterkosz.de



27 mai 2010

Sunset heat

J'ai fait du Tristan hier soir.


Je me suis vautrée dans les odeurs et j'ai craqué pour un nouveau parfum .


Ce n'est qu'en cherchant une image pour illustrer ce billet que je suis tombée sur la description du parfum.



Un philtre gourmand, troublant et sensuel décliné en 3 accords.


1er accord “le cocktail exotique”

Le velours de la papaye enveloppe la pétillance et l’insolence des agrumes. Le sorbet de mangue chatouille les papilles et la mousse d’ananas met l’eau à la bouche. Véritable cocktail de plaisir, les sens sont en éveil.


2e accord “la pastèque givrée” : la fraîcheur et la transparence

La pastèque douce, légèrement sucrée et tellement désaltérante rafraîchit intensément. Elle souligne la présence de la pêche poudrée et veloutée pour offrir un coeur qui enveloppe ces peaux baignées de soleil.


3e accord “la fleur d’Hibiscus” : l’exotisme à l’état pur

L’Hibiscus, la reine des fleurs Hawaïenne, y est rayonnante. Sa forme, sa couleur et son parfum sont en parfaite harmonie avec le soleil. Avec le Bois de Santal doux et lacté, elle joue de son charme et envoûte avec délice.

Sexy à souhait, han ? Pas surprenant que j'aie été envoutée au point de l'acheter.

20 mai 2010

Objet de désir

Un coup de foudre immédiat à la librairie hier soir. Je vous présente mon nouvel objet de désir :

Le bâton et la carotte d'Esparbec.




Présentation de l'éditeur

Imaginez deux jouvencelles, les meilleures amies du monde. L'une d'elles très délurée, la coqueluche des garçons du collège, se livre avec eux à toutes sortes de coquineries, mais sans franchir certaines bornes, car elle veut garder son pucelage pour son futur mari... L'autre donzelle, en revanche, ne tolère aucune familiarité de la part de ses condisciples mâles...Tout juste si elle accepte de flirter... et encore ! Du bout des doigts... Et si les apparences étaient trompeuses ? Si la plus dévergondée des deux n'était pas celle qui retire si souvent sa culotte au cinéma, ou en voiture... Si la timide pécore qui rougit dès qu'on parle de sexe était au contraire un monstre de perversité, si elle avait, vous n'allez pas me croire, eh bien si : un " esclave sexuel " ! A elles deux, c'est à qui inventera les sévices les plus cruels (et les plus délicieux) pour torturer et " utiliser " leur " homme à tout faire ". Est-ce tout, me direz-vous ? Oh que non, ce n'est là, comment dire, que la partie apparente de l'iceberg... Se souvenant de La Pharmacienne, son premier " roman pornographique ", Esparbec nous livre ici un bouquin cochon comme on n'en fait plus depuis belle lurette. Un de ces fameux livres à ne lire que d'une main, si vous voyez ce que je veux dire. Attention, à déconseiller formellement aux esprits peu éclairés et aux mères-la-vertu. Quant aux autres, qu'ils n'en abusent pas : à consommer avec modération.