08 mai 2010

Le week-end.




Un dildo énorme avec des couilles et une ventouse. Un engin de 10 pouces. 2 et demi de largeur. Une soumise agenouillée au milieu de son salon. Elle attends impatiemment son Maître, nue et frémissante.

Le voici enfin qui entre chez elle. Silencieusement. Il porte un sac à dos duquel il sort le godemiché.

- "Je t'ai apporté un cadeau" lui dit-il sans un bonjour. "Ne t'en réjouis pas trop vite ! »

Elle reste là sans oser bouger. Sans même oser remuer les lèvres pour le remercier. Elle le regarde attentivement, cherchant tout signe de commandement lui permettant de s'approcher de lui. Comme elle aimerait embrasser son maître ! Lui dire à quel point elle est heureuse de ce week-end qui débute car elle aura enfin l'occasion de lui appartenir vraiment. Mais le Maître ne la regarde déjà plus. Il s'est dirigé vers la porte vitrée qui donne sur le balcon de son appartement situé au second étage d'un édifice qui longe une rue achalandée.

Ce qu'il fit ensuite la fit tressauter. Il enlève les rideaux de cette porte vitrée !

- "Nous n'en aurons pas besoin » lui explique t'il avec un sourire amusé en la voyant trembler de se retrouver ainsi exposée aux yeux des passant trop curieux qui auraient l'idée de scruter l'intérieur de son petit appartement.

Il lui tends ensuite son cadeau.

- « Regarde-le bien » dit-il « Il sera ta seule délivrance ce week-end , ton seul moyen de jouir. Pour les 48 prochaines heures que nous passerons ensemble, il t'est interdit de te masturber. Ton corps m'appartient. J'en ferai usage pour mon plaisir seulement !»

- ...

- " Mais sois certaine que je t'exciterai et ferai mouiller ta chatte aussi souvent qu'il me plaira. Je te garderai en haleine. Tu auras tant envie de jouir que tu me supplieras"

- ...

- " Ton seul moyen d'atteindre l'orgasme sera de piler sur ton orgueil et d'assumer tes instinct de chienne » ajoute t-il en lui reprenant l'énorme queue des mains .... et en la collant au bas de la porte vitrée à l'aide de la ventouse.

Tout se passait très vite dans la tête de la soumise. Elle était paniquée et muette. S'imaginant déjà à 4 pattes, dos à la rue, s'enfonçant elle-même sur l'énorme bite jusqu'à en râler de plaisir sans savoir si des regards pervers la détaillaient pendant qu'elle s'avilissait ainsi.

Perdue dans ses pensés elle n'avait plus conscience des mouvements de son Maître dans la pièce.

Ainsi elle sursauta de le voir assis sur le sofa, le pantalon dézippé, le sexe déjà à demi gonflé dans sa main, lorsqu'il lui dit doucement :

- « Vient me sucer maintenant ma belle salope. Approche à 4 pattes et garde le cul bien haut. J'aime en voir le reflet sur la vitre pendant que tu m'engloutis jusqu'au fond de ta gorge »

Ouf ! ce sera un week-end plein d'émotions ! pensa t-elle avant de concentrer toute son attention sur le sexe de son Maître.

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