01 août 2010

Oeufs

Elle prépare un gâteau. C’est son Maître qui lui en a donné l’ordre. Elle cuisine souvent mais rarement dans cet accoutrement. Elle est nue sous son tablier de cuisinière au style un peu vieillot. Il est noué sur ses reins ne couvrant rien de son fessier rougi par la fessée qu’elle a reçu plus tôt. Elle porte des souliers à talon haut qui lui comprime les pieds et la déséquilibre.


Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.


Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.


Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.


Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »


Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.


Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.


« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »


Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.


Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »


Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.


Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.


Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.


Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.


Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.


« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »


Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.


« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »

2 commentaires:

Silencer a dit...

Qui veux préparer un gateau?

Anonyme a dit...

J'ai faim... vite ! ;-)