Elle a peine à se rappeler comment tout a commencé. Ça s'est passé si vite. Dès le premier contact, le premier bonsoir, il l'a prise par les épaules pour l'approcher de lui et lui faire la bise. Elle a immédiatement senti la bosse dure de son sexe gonflé à travers les vêtements s'appuyer sur elle. Elle a aussi senti toute conviction fondre en elle, elle a balbutie quelques mots incompréhensibles puis s'est mise à suer à grosses gouttes en le regardant d'un petit air niais. Le fait de lui faire perdre ses moyens n'a pas déplu à l'homme.
Maintenant nue avec lui, dans l'intimité d'une porte fermée, elle n'a toujours pas repris pied. Complètement envoûtée par l'homme, elle laisse son propre corps et ses pulsions la guider; sachant trop bien qu'elle ne pourra lutter contre les désirs qui l'ont assaillie.
Elle s'est laissé attacher les mains derrière le dos et maintenant c'est deux doigts curieux et déterminés qui lui fouillent la chatte pendant que leurs regards sont perdus l'uns dans l'autre.
- Clack !
- Aille ! tu m'as claqué une fesse ! hurle t-elle, surprise de l'intensité de l'assaut.
- Ne lâches pas mes yeux, lui réponds l'homme d'un ton aussi calme que grave en la poussant à s'agenouiller près de lui.
Il lui tends alors ses doigts luisants de son jus. Lèche, fut le seul mot qu'il prononça. Et elle se mit à lécher ses doigts d'abord doucement en savourant le goût de son intimité et en le regardant profondément dans les yeux. Elle cherchait à percer cet esprit mystérieux qui avait tant d'emprise sur elle. À mesure que son excitation montait, elle suçait de plus en plus avidement et rageusement, jusqu'à en mordre ces doigts qui lui trituraient le sexe quelques minutes plus tôt .
- Clack ! Tu m'as mordu salope !
Cette fois-ci elle n'a pas crié. Elle a même soutenu son regard avec un petit air de défi. L'homme crispe la mâchoire et lui enfonce ses doigts au fond de la gorge jusqu'à lui faire mouiller les yeux.
- Ferme les yeux maintenant. Je vais enfoncer ma queue doucement dans ta bouche. Tu ne la connais pas. Tu ne sais pas jusqu'où elle va aller. Alors tu vas t'étouffer avec jusqu'à en avoir un haut le cœur.
Et sur ces paroles, il s'enfonce doucement dans la bouche offerte de la jeune femme. Ses yeux se plissent, ses sourcils froncent. La verge est rendue trop loin pour qu'elle parvienne à avaler sa salive. Elle lui coule sur le bord de la bouche et une larme roule sur sa joue. Elle ouvre ses yeux et tente de plonger son regard suppliant dans les yeux de l'homme.
- Tu les laisses fermés sinon je les bande.
Mais elle ne parvient pas à arracher son regard mi-effrayé mi- excités de l'homme qui lui impose tant de sensation enivrantes.
- Tu l'auras bien cherché. Alors bandeau ce sera. Je veux que tu sentes bien ma queue entrer dans ta gorge. Je veux pas que tu la vois. Juste que tu l'imagines
Et le noir lui voila le regard et elle s'activa à partir de cet instant à découvrir ce sexe durci avec sa langue. À le sentir et le goûter en tentant d'arracher à l'homme des gémissements qui l'encouragent et qui l'aident à savoir que ses caresses buccales lui plaisent. L'homme se mit à grogner un peu et a bouger. Il lui baise la bouche. Elle est incapable d'avaler sa salive. Ça lui coule partout. Ses larmes. sa salive, celle de celui qui s'impose dans sa bouche parce que lorsqu'il juge que ce n'est suffisamment mouillé il laisser couler un filet de sa salive sur son sexe tendu.
Il joue avec les mamelons durcis de sa victime. Les roule entre ses doigts, les étire et les écrase. Il ramasse quelque chose près de lui. Elle ne peut voir de quoi il s'agit mais bientôt la fulgurante douleur à l'un de ses seins lui révélera qu'il s'agit de nipple clamps ! Ça n'a pris qu'une fraction de seconde pour qu'elle réalise qu'une autre douleur semblable ne tardera à se faire sentir venant de l'autre mamelon.
- Que tu es belle ainsi parée lui murmura t-il en tirant sur la chaînette qui relie les deux pinces.
En guise de toute réponse, elle ne parvint qu'à gémir. Tentant de se défaire de cette douleur qui l'assaille. Mais il tient toujours la chaînette et chaque mouvement ne fait qu'empirer la situation. Alors elle cessa de se remuer, se calma.
- Oui. Tu bouges pas. Tu suces comme tu peux. Ou tu te laisses baiser la gueule.
Et pendant un moment encore il la maintint fermement près de lui en s'enfonçant profondément dans sa gorge et en n'en ressortant que pour y replonger de plus belle.
- Assez de ta gueule. Je veux ta chatte. Ton cul.
Comme elle a toujours les mains liées, il la retourne sur le ventre, la tête écrasée contre terre, le cul bien en l'air. Il passe sa queue tout le long de la fente humide, de son cul à son pubis.
- Tu mouilles salope lui dit-il en frappant son clitoris d'un coup de se verge durcie.
Bientôt les gémissement de la demoiselle se transforment en supplications alors qu'il passe sa main sous son ventre et va tirer un peu sur la chaînette des pinces qui lui pressent toujours les mamelons.
- Baise-moi murmure t'elle en un souffle.
- T'en veux hein ?
- J'ai besoin de ta queue dans ma chatte.
Il passe un doigt sur le bout de son gland plein de précum et du jus de ce sexe de femme si désireux et le porte à la bouche de l'aveuglée.
- Suce ordonne t-il.
Elle le prit entièrement et le suça voracement, bruyamment.
- Tu me mets dans un tel état. Je me sens bestiale. J'en veux. Touche-moi.
- Clack
- Ouille ! cria t-elle plus surprise que meurtrie
La claque suivant retentit plus fort sur son cul mais l'orgueil la fit serrer les dents et ravaler son cri. Elle sent la queue sur le bord de son trou baveux. Puis une autre claque qui lui fit perdre le souffle une seconde.
- Tes fesses rougissent. Ça me rends fou. Je vais tellement te mettre là. Plus je frappe plus tu mouilles. Je vois la cyprine couler le long tes cuisses. T'aimes ça hein ? Dis-le !
- J'adore quand tu rougis mon cul.
- Hum. Tu sais que je vais vraiment te défoncer comme une chienne ?
- Vite prends moi. Je me sens vide. Remplis-moi.
Elle relève les fesses, tente d'y intéresser son amant. Il lui prends par les hanches et la pénètre d'un coup de rein solide. Elle rugit. Et il ressort aussitôt.
- Tu n'as pas crié assez fort ma salope ajoute t-il en lui reclaquant les fesse à plusieurs reprises.
Elle se mit à chigner. Elle désire tant que ce pieu s'enfonce en elle encore. Elle en perds la raison et agis comme une chienne en chaleur. Elle n'est plus capable de parler normalement. Elle gémis, grogne, se brasse le cul en cherchant la queue.. Il lui enfonce le pouce dans le cul pour la calmer. Sans préparation. D'un coup. Elle cesse de bouger net. Surprise, elle tente de reprendre son souffle mais n'en a pas le temps car déjà il lui laboure le cul avec son pouce et de son autre main il vient pincer son clitoris très fort.
Cela l'amène au bord de la jouissance mais l'homme n'en peux plus. Il retirer son pouce et lâche le clitoris et enfonce sa queue dans la chatte chaude. Il amorce des va et vient à une vitesse incroyable. Il défonce la chatte en tirant et en te poussant la femme par les hanches. Elle sent ses doigts s'enfoncer dans sa chaire.
- J'aime sentir ta grosse bite glisser en moi. J'aime la sentir cogner au fond. Ça fait un peu mal mais c'est si bon.
Il sent très bien qu'il touche le fond mais pousse tout de même plus fort. Il replonge son pouce dans l'anus à demi-ouvert.
- Oh !
- Tu vas me faire jouir salope. Tu le veux où ?
- Sur mon cul de chienne. Sur mes fesses rougies
- Tu vas l'avoir sur ton cul de chienne. Petite pute ! grogne t-il avant de cesser de bouger. Fais toi aller sur ma queue si tu le veux.
Elle a perdu tout contrôle d'elle-même et s'empale comme une chienne sur le sexe prêt à éclater. Il lui détache les mains pour qu'elle puisse bouger à sa guise et recommence à lui ramoner le cul sauvagement avec son pouce.
- Fais toi jouir sur ma queue, salope.
Elle est si près de l'orgasme. Le prochain mouvement pourrait la faire jouir. Elle se recule pour prendre tout ce sexe en elle. Il en profite pour reprendre le contrôle et la défoncer violemment.
- Jouis ma chienne.
Elle se crispe. Il sent sa chatte serrer sa queue. Elle a cessé de respirer. Il n'en peux plus. Grogne de plus en plus fort. Elle est si tendue, un long silence survit et enfin les spasmes de son orgasme. Il ne veut plus jouir sur son cul. Il veut lui emplir la chatte. Il la plaque contre lui et dans un long râle, elle sens son sperme chaud l'inonder.
- J'aime sentir ton sperme me brûler. J'ai perdu tout contrôle. Fais de moi ce que tu veux.
Il sors sa queue. Il veux goûter. Il se couche sur le dos et installe la femme sur lui.
- Mange moi pendant que je te mange. Ton jus. mon sperme.
Elle engloutis la queue au complet. En savoure le goût de leur deux jouissance entremêlées.
- Tu me sens couler sur ton visage ?
- J'adore. Je n'en manque pas une goutte.
- Je suis si sensible après l'orgasme. Encore si excitée. Suce mon clito pendant que je lèche tes couilles. Tu es encore dur. Salaud ! Tu est encore prêt.
- T'as pas idée.....
Elle se retourne sur lui et approche son visage du sien. Elle l'embrasse avec sa bouche pleine de salive et de sperme. Puis elle enlève son bandeau et plante son regard dans le sien.
- Mon cul a envie de ta queue maintenant.
- Oh que oui je vais t'enculer. J'ai envie de sentir ton anus tout serré autour de ma queue.
- Lèche-le lui demande t-elle en se plaçant à quatre pattes.
- Belle chienne.
- Glisse ta langue dedans.
- T'as envie de ma langue ? de mes doigts ? de ma queue ?
- Hum oui. Mouille le bien, vas-y.
Il se penche derrière elle. Écarte tes fesses. Regarde le petit trou.
- Ma queue va être bien là dedans. Annonce t-il avant de cracher dessus.
- Oui ... ça m'excite. Ouvre-moi.
Il écarte ses fesses davantage à la limite de la douleur. Elle sait qu'il l'observe son cul, qu'il va le défoncer. Elle se mordille la lèvre du bas d'appréhension. Elle ne veut pas crier. Il l'écarte encore plus. Ouch ! Elle sait que plus rien ne l'arrêtera. Décide de se laisser guider.
Il insère le bout de ses 2 pouces dans son trou et l'écarte. Elle gémis et serre les dents. Il écarte plus. Il veut qu'elle crie.
- Ouille ! c'est trop ! se plaint-elle.
Il retire ses pouces et recrache sur son anus. Elle se calme un peu.
- Je vais le baiser maintenant ton cul ma chienne. Tu la veux ma queue dans ton cul ?
- Oui encule-moi . Ouvre-moi encore.
- Tu sais que ça va faire mal ?
- Oui mais j'en ai si envie. Va doucement. Prends-moi.
Il enfonce son majeur dans son cul doucement. Elle se lèche les lèvres. Il fait quelques mouvements de va et vient profonds avec son doigt. Elle sent qu'il se masturbe tout près d'une de ses fesses. Elle sent sa main bouger et parfois la frôler dans son mouvement de va et vient.
Il recrache sur l'anus tendu vers lui et insère un autre doigt. Cette fois-ci c'est elle qui recule sur ces doigts envahisseurs. Qui s'empale d'un coup en lui jetant un regard de défi. Il sors ses doigts. La regarde avec un petit sourire en coin.
- Tu veux jouer à ça. Eh bien ! Tu vas être servie ma chienne lui promet-il en guidant sa queue tout près de son anus. Elle sens son gland forcer l'entrée.
- Prends moi comme je le mérite.
- Écarte tes fesses si tu la veux
- Montre moi qui mène le supplie t-elle en prenant ses fesses pour les écarter.
- Plus que ça. Je veux bien voir ma queue te pénétrer.
Elle tire plus sur les deux globes de chair.
- Hummm. Belle chienne.
Les encouragements de l'homme l'encouragent. Elle tente de reculer sur la queue. Il se recule aussi.
- Impatiente ma salope ?
- Oui, j'en ai tant envie.
- C'est moi qui décide lui impose t'il en lui assénant une nouvelle claque sur le cul.
- Aille ! J'ai envie que tu te serve de mon cul de petite pute.
La claque l'a fait sursauter et lâcher sa position. Elle se replace, écarte ses fesses et attends.
- Good girl !
Il remets son gland sur le bord de l'anus. Elle respire de plus en plus fort, à la fois anxieuse et excitée. Elle essaie d'être patiente. De le laisser lui imposer le rythme. Cette dernière claque lui a suffit. Elle est bien décidée à obéir cette fois-ci. Le gland se remet à bouger et elle le sent la pénétrer doucement. Il lui semble énorme. Elle gémit. L'homme laisse couler un long filet de bave pour aider la pénétration. Son anus est si serré. Il ne peut que s'insérer doucement en elle. Ça lui fait mal. Il le sens dans ses gémissements. Des larmes montent aux yeux de la femme qui se sent transpercée de toute part. Mais elle est mouillée comme une chienne et sa douleur excite le mâle.
Elle ne bouge pas , souffre un peu mais connais son rôle. Elle aime le sentir l'enculer. Mais il ressort sa queue au complet et sans attendre la pousse au fond de sa chatte pour bien la mouiller. Elle sursaute, émet un petit cri. Elle ne s'attendait pas a ça. Il ressort aussitôt de la chatte va planter sa queue dans son anus encore ouvert d'un seul trait.
- Whhhhhooooaaaaaa !
Il pousse toujours plus loin. Il est bien au fond d'elle. Elle se sent fendue en deux. Il donne quelques coups de reins rapides mais profonds, des petits va et vient. Elle supplie :
- Ne bouge plus. Tu es si gros.
- Je te sens tellement bien autour de ma queue lui confie-t-il en cessant de bouger.
- Tu me remplis complètement.
Elle glisse sa main entre ses jambes. Et se met à se masturber frénétiquement. Il la sent se détendre peu à peu. Elle est moins crispée. Il adore qu'elle se masturbes ainsi. Il sent qu'il a de la place à bouger. Ça lui donne le go ! Il l'empoigne solidement par les hanches et lui donne un gros coup de reins. Il se sent animal. Il a envie de lui défoncer le cul. Elle gémit de plaisir. La douleur a cédé sa place au plaisir.
- Encule-moi ! Défonce-moi !
Il l'encule sauvagement. Violemment. Il claque son cul. C'est trop bon. Elle sent son orgasme approcher à une vitesse fulgurante. Son clitoris s'est transformée en une bille de chaire dure et extrêmement sensible. Elle sent la bite au complet entre ses fesse. Elle aime se sentir sa chienne.
Elle est au bord de la jouissance. Il le sait. Il la prend par les épaules pour cogner encore plus solidement sur ses fesses. « Prends la ma queue » Puis il lui met un doigt dans la bouche. « Suce. Tu vas me faire jouir. »
Elle suce son doigt. La bave coule partout.
- Je vais jouir grogne t-il.
- Où tu veux a t-elle à peine le temps de lui répondre avant que son propre orgasme ne l'envahisse.
- Woah ! Salope ! fut son dernier mot.
Ils s'effondrèrent tous les deux épuisés et repus. Se serrant l'un à l'autre en attendant que les dernières secousses de leurs orgasme simultanés s'estompent ...
18 décembre 2009
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1 commentaires:
à "Ma maîtresse virtuelle" un joyeux noël!
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