La petite chienne frissonne. Elle n'a pas froid. Son Maître l’attend tout simplement près de la porte, dans le hall d'entrée. Elle le sait car elle a entendu les maillons de la chaîne s'entrechoquer lorsqu'il l'a prise dans ses mains. Ce son, celui de la laisse, elle le connaît bien. Il est annonciateur d'une balade à l'extérieur.
Elle porte les mains à son cou. Son collier y est bien en place. Serré et solide. Elle ferme les yeux un instant et pose le couteau sur le comptoir de la cuisine avant de se mettre à quatre pattes. La confection du repas attendra.
Elle se rend ainsi vers son maître qui l’attend en souriant. Il est si fier de la petite chienne qu'il a dressée. Obéissante et attentive au moindre son qui lui dicte sa conduite.
Elle est nue. Elle l'est toujours en sa présence. Il aime poser son regard sur elle à tout moment et rien ne doit lui être caché. En s'arrêtant sur la paillasse aux pieds de son maître, elle songe au vent qui bientôt caressera sa peau dénudée. Elle pense à l'air frais qui lui semblera si froid sur son sexe trempé. Elle anticipe la dureté de ses mamelons qui se crisperont dès qu'elle franchira la porte.
- "Viens ! " dit-il en attachant la chaîne à son collier. "Un peu d'air te fera du bien, petite chienne en chaleur."
Son visage s'empourpre. Ainsi son maître n'a rien raté du désir qui la dévore ! Elle est arrivée chez lui depuis bientôt deux jours, profitant d'un long congé pour le retrouver. Elle lui a donné du plaisir. Elle lui a offert sa bouche et son cul. Il l'a caressée, agacée, excitée. Elle a tant envie de jouir. Sa chatte étant restée vide. Si vide.
Le maître tire sur la laisse, la tirant de ses pensées. Ils franchissent la porte et se retrouvent sur l'herbe. Ne sachant ce que son maître attend d'elle, elle le suit de très près. Se laissant guider par les pas de celui qui tient la laisse.
Ils traversent le terrain et se dirigent à l'orée du bois. Elle s'énerve soudainement. Va t-il la guider au grand orme ?
Il guette la chienne, un sourire en coin. Il s'amuse de la voir se trémousser ainsi à ses côtés. Il sait qu'elle n'en peut plus. Que le désir l'a gagnée depuis plusieurs heures déjà. Que le jus de sa chatte ruisselle constamment entre ses cuisses. Il la maintient dans cet état d'excitation depuis trop longtemps. Elle a supplié il y a quelques minutes de lui permettre de jouir enfin. Mais il l'a envoyé à la cuisine. Elle a soupiré et obéi.
Chaque pas qui les rapproche de l'arbre renforce son excitation. Et s'il ne faisait que lui passer sous le nez ? Et si quelqu'un la voyait ? Et si ...
Arrivés au pied de l'orme, elle lève son regard interrogateur vers son maître.
- Mais qu'est-ce que tu attends, chienne ?
Elle fait rapidement le tour de l'orme et trouve le godemiché qui a été cloué au tronc à quelques pouces du sol. Un organe de 8 pouces en silicone retenu à l'arbre par les couilles. Elle le renifle. Le lèche. L'embouche. Le mouille.
Elle entend son maître ricaner mais déjà elle n'y prête plus attention. La bête a pris le dessus. Elle se retourne et tends son derrière. Le gland trouve son clito. Elle s'y frotte. L'englue. Et d'un trait elle s'empale sur le jouet. Un gémissement sort de sa bouche, puis un autre, et un autre. Elle bouge et se baise, à 4 pattes, dehors, nue. Aux pieds de son maître qui tiens la laisse en s'amusant de la voir ainsi s'abaisser, prendre son plaisir.
Elle bouge de plus en plus vite. Elle craint qu'il l'arrête avant qu'elle n'ait joui. Qu’il tire sur la laisse et la prive de l'orgasme, la laissant encore plus frustrée. Elle se baise profondément, durement, un peu bestialement. Elle court vers la jouissance et enfin la voilà. Sn corps se crispe, se tends, s'effondre.
Mais elle n'a pas le temps de reprendre son souffle déjà une tension sur la laisse se fait sentir ...
18 août 2010
16 août 2010
Ah Guillaume !!!
Menoum ! Peu importe le look.
Ce n'est pas la première fois (et certainement pas la dernière) que tu me fais cet effet !
On se gâte sur grand écran à nouveau
Ce n'est pas la première fois (et certainement pas la dernière) que tu me fais cet effet !
On se gâte sur grand écran à nouveau
06 août 2010
Le plan était simple
Merci les sexyboys pour la belle soirée d'été passée en votre compagnie !
Another day is going by
I'm thinking about you all the time
But you're out there
And I'm here waiting
And I wrote this letter in my head
Cuz so many things were left unsaid
I'm trying to forget that
I'm addicted to you
But I want it and I need it
I'm addicted to you
01 août 2010
Oeufs
Elle prépare un gâteau. C’est son Maître qui lui en a donné l’ordre. Elle cuisine souvent mais rarement dans cet accoutrement. Elle est nue sous son tablier de cuisinière au style un peu vieillot. Il est noué sur ses reins ne couvrant rien de son fessier rougi par la fessée qu’elle a reçu plus tôt. Elle porte des souliers à talon haut qui lui comprime les pieds et la déséquilibre.
Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.
Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.
Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.
Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »
Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.
Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.
« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »
Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.
Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »
Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.
Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.
Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.
Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.
Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.
« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »
Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.
« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »
Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.
Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.
Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.
Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »
Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.
Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.
« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »
Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.
Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »
Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.
Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.
Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.
Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.
Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.
« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »
Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.
« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »
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