Je n'ai jamais douté des vertues aphrodisiaques de la canelle. Adolescente, il me suffisait de macher un chewing-gum a la canelle pour que tous les jeunes mecs croisés dans la rue me paraissent appétissants.
J'aime aussi Cindy, ou plutot les sextoys dont elle garni sa boutique. Il était grand temps que je découvre que Cindy Cinnamon a maintenant un blog et que mon sexshop préféré a une boutique en ligne digne de ce nom.
30 juillet 2010
29 juillet 2010
Plaisir oral
"Aujourd'hui, je t'offre ma bouche, ma langue et mes dents." Il ne pouvait être plus clair. Sa soumise avait bien saisi le message.
Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.
Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …
Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...
.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.
Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.
Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.
Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.
Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.
Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.
Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.
Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.
Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.
La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.
D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.
Honteuse, elle fige un instant.
« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »
Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.
Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.
Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.
« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »
La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...
Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.
« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »
Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.
« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »
À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.
« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »
Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.
Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.
En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.
« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »
« Merci Maître » murmure t’elle doucement.
Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.
Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …
Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...
.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.
Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.
Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.
Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.
Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.
Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.
Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.
Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.
Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.
La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.
D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.
Honteuse, elle fige un instant.
« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »
Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.
Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.
Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.
« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »
La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...
Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.
« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »
Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.
« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »
À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.
« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »
Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.
Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.
En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.
« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »
« Merci Maître » murmure t’elle doucement.
27 juillet 2010
Se branler avec l'argent de mère-grand
Y'a un coeur dans mon corps en chaleur.
Mère-grand ne cuisine plus. J'aime bien cuisiner un peu plus que nécessaire et remplir son réfrigérateur de petits plats qu'elle n'aura qu'à réchauffer le moment venu.
Comme je refuse toujours qu'elle m'offre quelque compensation monétaire que ce soit, il lui arrive de glisser un billet à mon insu dans les contenants qu'elle me retourne toujours duement lavés et prêts a recevoir un nouveau repas.
Je caresse le billet innattendu entre mes doigts en souriant doucement. Qu'achèterais-je avec cet argent ? Un nouveau vibro ? J'en ai déja trop. Un bon bouquin érotique sur lequel je me branlerai longuement? Probablement.
Une chose est certaine. Je jouirai avec l'argent de Mémé. Parfois le bien et le mal semblent se faire un clin d'oeil au passage ...
Mère-grand ne cuisine plus. J'aime bien cuisiner un peu plus que nécessaire et remplir son réfrigérateur de petits plats qu'elle n'aura qu'à réchauffer le moment venu.
Comme je refuse toujours qu'elle m'offre quelque compensation monétaire que ce soit, il lui arrive de glisser un billet à mon insu dans les contenants qu'elle me retourne toujours duement lavés et prêts a recevoir un nouveau repas.
Je caresse le billet innattendu entre mes doigts en souriant doucement. Qu'achèterais-je avec cet argent ? Un nouveau vibro ? J'en ai déja trop. Un bon bouquin érotique sur lequel je me branlerai longuement? Probablement.
Une chose est certaine. Je jouirai avec l'argent de Mémé. Parfois le bien et le mal semblent se faire un clin d'oeil au passage ...
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