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18 août 2010

Le grand orme

La petite chienne frissonne. Elle n'a pas froid. Son Maître l’attend tout simplement près de la porte, dans le hall d'entrée. Elle le sait car elle a entendu les maillons de la chaîne s'entrechoquer lorsqu'il l'a prise dans ses mains. Ce son, celui de la laisse, elle le connaît bien. Il est annonciateur d'une balade à l'extérieur.


Elle porte les mains à son cou. Son collier y est bien en place. Serré et solide. Elle ferme les yeux un instant et pose le couteau sur le comptoir de la cuisine avant de se mettre à quatre pattes. La confection du repas attendra.


Elle se rend ainsi vers son maître qui l’attend en souriant. Il est si fier de la petite chienne qu'il a dressée. Obéissante et attentive au moindre son qui lui dicte sa conduite.


Elle est nue. Elle l'est toujours en sa présence. Il aime poser son regard sur elle à tout moment et rien ne doit lui être caché. En s'arrêtant sur la paillasse aux pieds de son maître, elle songe au vent qui bientôt caressera sa peau dénudée. Elle pense à l'air frais qui lui semblera si froid sur son sexe trempé. Elle anticipe la dureté de ses mamelons qui se crisperont dès qu'elle franchira la porte.


- "Viens ! " dit-il en attachant la chaîne à son collier. "Un peu d'air te fera du bien, petite chienne en chaleur."


Son visage s'empourpre. Ainsi son maître n'a rien raté du désir qui la dévore ! Elle est arrivée chez lui depuis bientôt deux jours, profitant d'un long congé pour le retrouver. Elle lui a donné du plaisir. Elle lui a offert sa bouche et son cul. Il l'a caressée, agacée, excitée. Elle a tant envie de jouir. Sa chatte étant restée vide. Si vide.


Le maître tire sur la laisse, la tirant de ses pensées. Ils franchissent la porte et se retrouvent sur l'herbe. Ne sachant ce que son maître attend d'elle, elle le suit de très près. Se laissant guider par les pas de celui qui tient la laisse.

Ils traversent le terrain et se dirigent à l'orée du bois. Elle s'énerve soudainement. Va t-il la guider au grand orme ?

Il guette la chienne, un sourire en coin. Il s'amuse de la voir se trémousser ainsi à ses côtés. Il sait qu'elle n'en peut plus. Que le désir l'a gagnée depuis plusieurs heures déjà. Que le jus de sa chatte ruisselle constamment entre ses cuisses. Il la maintient dans cet état d'excitation depuis trop longtemps. Elle a supplié il y a quelques minutes de lui permettre de jouir enfin. Mais il l'a envoyé à la cuisine. Elle a soupiré et obéi.

Chaque pas qui les rapproche de l'arbre renforce son excitation. Et s'il ne faisait que lui passer sous le nez ? Et si quelqu'un la voyait ? Et si ...

Arrivés au pied de l'orme, elle lève son regard interrogateur vers son maître.

- Mais qu'est-ce que tu attends, chienne ?

Elle fait rapidement le tour de l'orme et trouve le godemiché qui a été cloué au tronc à quelques pouces du sol. Un organe de 8 pouces en silicone retenu à l'arbre par les couilles. Elle le renifle. Le lèche. L'embouche. Le mouille.

Elle entend son maître ricaner mais déjà elle n'y prête plus attention. La bête a pris le dessus. Elle se retourne et tends son derrière. Le gland trouve son clito. Elle s'y frotte. L'englue. Et d'un trait elle s'empale sur le jouet. Un gémissement sort de sa bouche, puis un autre, et un autre. Elle bouge et se baise, à 4 pattes, dehors, nue. Aux pieds de son maître qui tiens la laisse en s'amusant de la voir ainsi s'abaisser, prendre son plaisir.

Elle bouge de plus en plus vite. Elle craint qu'il l'arrête avant qu'elle n'ait joui. Qu’il tire sur la laisse et la prive de l'orgasme, la laissant encore plus frustrée. Elle se baise profondément, durement, un peu bestialement. Elle court vers la jouissance et enfin la voilà. Sn corps se crispe, se tends, s'effondre.

Mais elle n'a pas le temps de reprendre son souffle déjà une tension sur la laisse se fait sentir ...

01 août 2010

Oeufs

Elle prépare un gâteau. C’est son Maître qui lui en a donné l’ordre. Elle cuisine souvent mais rarement dans cet accoutrement. Elle est nue sous son tablier de cuisinière au style un peu vieillot. Il est noué sur ses reins ne couvrant rien de son fessier rougi par la fessée qu’elle a reçu plus tôt. Elle porte des souliers à talon haut qui lui comprime les pieds et la déséquilibre.


Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.


Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.


Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.


Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »


Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.


Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.


« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »


Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.


Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »


Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.


Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.


Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.


Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.


Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.


« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »


Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.


« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »

29 juillet 2010

Plaisir oral

"Aujourd'hui, je t'offre ma bouche, ma langue et mes dents." Il ne pouvait être plus clair. Sa soumise avait bien saisi le message.

Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.

Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …

Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...

.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.

Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.

Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.

Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.

Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.

Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.

Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.

Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.

Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.

La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.

D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.

Honteuse, elle fige un instant.

« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »

Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.

Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.

Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.

« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »

La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...

Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.

« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »

Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.

« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »

À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.

« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »

Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.

Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.

En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.

« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »

« Merci Maître » murmure t’elle doucement.

16 mai 2010

La ruelle

Le souper avec les copines s'est étiré au delà de l'heure raisonnable. Je suis un peu ivre lorsque je quitte le restaurant. L'air est frais. Il est presque minuit. La ville est bruyante et agitée. J'emprunte une ruelle. Ma voiture est garée à l'autre bout. Il ne restait plus de stationnement libre plus proche en ce vendredi soir.

Le bruit de mes talons qui claquent sur le trottoir se retrouve soudain accompagné d'un autre bruit de pas. Des pas plus rapides. Plus pesants. J'entends : Déshabille-toi sale pute ! J'ai à peine le temps de tourner la tête qu'une violente giffle me cloue sur place et m'étourdit. Un goût métallique emplit ma bouche. Du sang. Ma lèvre est fendue. Mes yeux sont embués de larmes de douleur.

Je parviens à peine à distinguer l'homme qui m'a agrippé. Il marche si rapidement que je trébuche. Il est grand et fort. Presque beau malgré son regard glacial et sa machoire serrée. Je n'arrive pas à me débattre et lorsque je crie enfin une autre giffle s'abat sur ma joue. Le temps de reprendre mes esprits. L'homme a attrapé mes poignets et a noué autour de ceux-ci un fil à pêche qui me scie la peau. Il a tendu mes bras au dessus de même tête et les as accroché à un vieil escalier de fer forgé comme on en retrouve souvent derrière les vieux édifices qui comptent plusieurs étages. J'ai perdu un soulier et je dois me tenir en équilibre sur le bout des orteils.

L'homme me bayonne à l'aide d'une roulette de tape électrique et sors ensuite un canif de ses poches. D'un trait il coupe ma blouse en plein centre. Mon soutien-gorge lui apparait alors dans toute sa splendeur. Un sourire se dessine sur son visage. "Il doit couter cher. C'est encore plus amusant à découper". Il glisse la lame entre mes seins. Je frémis de peur et crie derrière le baillon. La lame acérée coupe le soutien-gorge entre les deux bonnets. Mes seins explosent a sa vue, libérés de leur entrave. "Jolis"

L'homme remonte ma jupe au dessus de mes fesses et se recule d'un pas. "Hé Hé. Une salope sans culotte ! Je ne m'étais pas trompé" Je hais cet homme qui semble me deviner. Il passe sa main entre mes cuisses. "Rasée ... et mouillée ! Une vraie pute ! " J'entends sa braguette descendre. Je me débats bien inutilement. Sur le bout des pieds. Dans un étrange danse. Il attrape mes cheveux d'une main et me tire la tête vers l'arrière. J'ai mal. Je sens sa queue durcie contre mes fesses et de façon aussi naturelle qu'incompréhensible j'écarte les cuisses et cambre les reins. Il ricane en s'enfonçant dans ma chatte humide.

Il me besogne rapidement. Sans douceur. Sans pudeur. Sa queue est longue. Elle frappe le fond de ma chatte avec force. Mes cris font place à des gémissements. Rauques. Bestiaux. Ma chatte se crispe sur sa queue. L'homme grogne a son tour. De puissants jets m'emplissent et déclenchent un orgasme qui me prends par surprise et me laisse honteuse. Une giffle étourdissante me fait perdre connaissance.

Lorsque j'ouvre les yeux, je suis couchée par terre. Le dos contre des sacs de poubelles. Un homme qui porte une chemise bleu pâle avec une casquette à écusson se tient au dessus de moi. Je suis sauvée ! Un policier ! Je ferme les yeux de soulagement. Quand je les ouvre à nouveau, c'est une énorme queue qui est devant mon visage. " Je suis gardien de nuit dans le vieil édifice en face. Je t'ai vu jouir pendant que ce mec te violait. T'es la pire des salopes ! Il t'a laissé là et moi j'ai bien l'intention d'en profiter"

Mes mains sont encore liés. Le baillon est resté sur ma bouche. Ma jupe m'a été enlevée. Le gardien écarte mes jambes d'un coup de pied. "Pouah ! Tu dégoulines. Je mets pas ma queue dans le foutre de l'autre. Tourne-toi salope !" Il m'agrippe et me place le ventre sur le sac poubelle. Ma tête frôle le trottoir. Mes fesses pointent le ciel. L'homme les écarte et un énorme crachat atterrit sur mon anus. Sa queue le suit bientôt. Je hurle quand je sens son gland me pénétrer. Ça brûle et j'ai l'impression de déchirer. Un claque s'abat sur mes fesses. "Ta gueule"

La claque me replace les esprits. Sa chaleur irradie sur mon cul. Je me calme. L'homme s'enfonce en moi et une volée de claque pleut sur mon cul. Je danse un étrange balet sur ce sac de poubelle. Je me contortionne. Et bientôt j'ai adopté le m^me rythme que mon agresseur. Je ne ressens plus la douleur vive entre mes fesses. Je sens mon clito qui pulse et le sperme qui s'écoule de ma chatte qui mouille. Les larmes coulent sur mes joues. Le sang séché craque sur mon menton. Et je me mets à gémir de plaisir.

Je me suis réveillée une heure ou deux plus tard. Le corps endolori. Du sperme plein le visage. J'ai retrouvé mon soulier et mes clés. La ville était endormie. J'étais à nouveau seule dans la ruelle. À deux pas de ma voiture.

08 mai 2010

Le week-end.




Un dildo énorme avec des couilles et une ventouse. Un engin de 10 pouces. 2 et demi de largeur. Une soumise agenouillée au milieu de son salon. Elle attends impatiemment son Maître, nue et frémissante.

Le voici enfin qui entre chez elle. Silencieusement. Il porte un sac à dos duquel il sort le godemiché.

- "Je t'ai apporté un cadeau" lui dit-il sans un bonjour. "Ne t'en réjouis pas trop vite ! »

Elle reste là sans oser bouger. Sans même oser remuer les lèvres pour le remercier. Elle le regarde attentivement, cherchant tout signe de commandement lui permettant de s'approcher de lui. Comme elle aimerait embrasser son maître ! Lui dire à quel point elle est heureuse de ce week-end qui débute car elle aura enfin l'occasion de lui appartenir vraiment. Mais le Maître ne la regarde déjà plus. Il s'est dirigé vers la porte vitrée qui donne sur le balcon de son appartement situé au second étage d'un édifice qui longe une rue achalandée.

Ce qu'il fit ensuite la fit tressauter. Il enlève les rideaux de cette porte vitrée !

- "Nous n'en aurons pas besoin » lui explique t'il avec un sourire amusé en la voyant trembler de se retrouver ainsi exposée aux yeux des passant trop curieux qui auraient l'idée de scruter l'intérieur de son petit appartement.

Il lui tends ensuite son cadeau.

- « Regarde-le bien » dit-il « Il sera ta seule délivrance ce week-end , ton seul moyen de jouir. Pour les 48 prochaines heures que nous passerons ensemble, il t'est interdit de te masturber. Ton corps m'appartient. J'en ferai usage pour mon plaisir seulement !»

- ...

- " Mais sois certaine que je t'exciterai et ferai mouiller ta chatte aussi souvent qu'il me plaira. Je te garderai en haleine. Tu auras tant envie de jouir que tu me supplieras"

- ...

- " Ton seul moyen d'atteindre l'orgasme sera de piler sur ton orgueil et d'assumer tes instinct de chienne » ajoute t-il en lui reprenant l'énorme queue des mains .... et en la collant au bas de la porte vitrée à l'aide de la ventouse.

Tout se passait très vite dans la tête de la soumise. Elle était paniquée et muette. S'imaginant déjà à 4 pattes, dos à la rue, s'enfonçant elle-même sur l'énorme bite jusqu'à en râler de plaisir sans savoir si des regards pervers la détaillaient pendant qu'elle s'avilissait ainsi.

Perdue dans ses pensés elle n'avait plus conscience des mouvements de son Maître dans la pièce.

Ainsi elle sursauta de le voir assis sur le sofa, le pantalon dézippé, le sexe déjà à demi gonflé dans sa main, lorsqu'il lui dit doucement :

- « Vient me sucer maintenant ma belle salope. Approche à 4 pattes et garde le cul bien haut. J'aime en voir le reflet sur la vitre pendant que tu m'engloutis jusqu'au fond de ta gorge »

Ouf ! ce sera un week-end plein d'émotions ! pensa t-elle avant de concentrer toute son attention sur le sexe de son Maître.

05 mai 2010

Un mois de cul

C'était un jeudi soir comme tant d'autres. Accoudé au bar d'un petit pub du quartier des affaires d'une grande ville nord-américaine, se trouvait Luc. L'air abattu, sirotant un whisky.

Vint le rejoindre Sébastien. Éreinté de sa journée de travail mais heureux de retrouver son ami de longue date au même endroit chaque semaine. Les deux compères s'étaient connus lors de leurs études de comptabilité et avaient la chance de travailler dans des immeubles adjacents. Cela leur avait permis de garder contact et de prendre un verre ensemble chaque semaine avant de rentrer souper à la maison.

- Eh vieux ! Comment vas-tu ? s'informa Sébastien.


- Ça va, répondit Luc sans conviction. Et toi?

- Une grosse semaine au boulot mais j'ai prévu de passer un week-end chaud dans une auberge de campagne avec Martine alors je suis heureux de voir arriver le week-end !

- T'as de la chance, se contenta d'ajouter Luc.

- Oh toi ça va pas du tout à ce que je peux deviner. Des ennuis avec Annie ?

- Pas vraiment. En fait, je sais pas. Ça va pas comme je voudrais ou espérais. Mais c'est peut-être simplement des caprices de ma part.

- Je ne comprends pas rétorqua Sébastien. Je vais me chercher un verre puis tu me raconteras ce qui ne vas pas.



Seb commanda une bière puis guida son pote vers une table où ils seraient tranquille pour discuter.

- Alors ? Quel est l'élément déclencheur de ce questionnement ?

- Bah, tu sais, je me sens un peu ridicule de te confier cela. Ça tourne autour du sexe. J'ai tenté d'enculer Annie hier soir. Elle s'est d'abord laissé faire sans grande conviction puis a hurlé et pleuré de douleur. Ça ma fait débander. Ça se passe toujours ainsi. Pas moyen de sortir des sentiers battus au lit avec elle.


Seb se contente d'un hochement de tête, poursuivant son écoute attentive.

- Nous les mecs on est macho finalement. On voudrait une belle petite femme exemplaire à présenter à notre patron et une chienne au lit. C'est peut-être simplement impossible ajouta Luc.

- Nah ...

- Comment ça nah ?

- C'est pas impossible Luc. Ça demande simplement un peu de temps et de l'implication.

- Je ne te suis pas là. Tu pourrais m'expliquer plus clairement ?

- Bien sûr ! J'ai vécu exactement la même chose avec Martine. J'adore cette femme. Elle est parfaite. Mais je m'ennuyais ferme au lit. J'avais besoin d'une partenaire perverse prête à essayer de nouvelles choses. Et par dessus tout, j'avais cette envie qui revenait tout le temps de lui mettre ma bite dans le cul. De me sentir mâle et dominant en la faisant râler de plaisir.

- Exactement cela ...

- Eh bien. J'ai discuté avec elle et lui ai fait une proposition. Elle n'était pas totalement fermée à la sodomie mais n'y prenait pas plaisir et trouvait cela inconfortable.

- Comme Annie ...

- Voilà !

- Et comment as-tu fait pour que cela change ?

- J'ai trouvé sur le web les accessoires essentiels et lui ai proposé un essaie d'un mois. Elle se livrait à l'expérience durant un mois et ensuite pouvait faire un choix. Soit nous incluons la sodomie dans nos pratiques courantes, peut-être pas quotidiennes mais beaucoup plus que 2x par année comme c'était le cas auparavant. Soit elle la refusait et je ne lui redemanderait jamais.

- Oh mec ! T'as joué gros sur ce coup là !

- Ouais. Mais je ne l'ai jamais regretté conclut-il avec un clin d'œil à son copain.



Seb, soudain très intéressé et excité par ces révélations cala le reste de son verre avant de risquer la prochaine question.

- Et cet accessoire, c'est quoi et comment doit-on s'en servir ?

- Un ensemble de jouets sexuels dédiés à l'éducation de l'anus. Je pourrais même te le prêter. Martine n'en a plus besoin. Son anus est bien souple maintenant et je m'assure personnellement de veiller régulièrement à ce qu'il le demeure ...

- Ah ce serait vachement gentil de ta part.

- Mais avant tu dois avoir une discussion avec Annie et la convaincre de t'offrir son entière confiance durant un mois entier. Il faut être très rigoureux pour que le processus fonctionne.

- D'accord. Je lui en parlerai dès qu'un moment propice se présentera. Explique moi cet entraînement maintenant.

- Il s'agit d'une mallette qui contient 30 plugs anal et 30 godes de diamètre croissant. Le plus petit a à peine le diamètre de mon petit doigt et les 3 ou 4 plus gros dépassent de peu le diamètre de ma queue. Les jouets sont numérotés. Il suffit de les utiliser chaque jour en augmentant la grosseur à chaque fois.

- Cela demande vraiment que ta partenaire soit coopérative.

- Oui mais on y arrive assez facilement. Je t'explique comment j'ai procédé. Chaque jour j'insérais le plug correspondant à la journée dans l'anus de Martine pendant au moins 15 minutes et souvent plus. En fait, j'en profitait pour me faire sucer et vider les couilles pendant que le plug la dilatait puisque durant tout ce mois je ne l'ai pas baisé.

- Wow ....

- Une fois que j'avais joui. Je lui demandais de se placer à 4 pattes sur le lit et je retirais le plug de son cul. J'allais ensuite chercher le gode de dimension identique dans la mallette et je le lubrifiait adéquatement. Puis d'une main je lui godais le cul et de l'autre je lui caressait le clitoris. Jusqu'à ce qu'elle jouisse. Une fois son orgasme passé, je retirais le gode de son cul et lui disait à quel point elle était belle à voir jouir ainsi en se faisant enculer.

- Et elle se prêtait à ce jeu chaque jour ?

- Bien sûr. C'était l'entente qu'on avait. Elle devait la respecter pour ensuite avoir le choix de refuser toute sodomie à vie. Mais surtout c'était les seuls orgasmes que j'acceptais de lui procurer durant la période de l'entente alors elle était souvent heureuse, quand le moment arrivait, de se prêter au jeu. Je crois même que parfois elle se masturbait dans la journée en repensant aux puissant orgasmes que je lui procurais ainsi. Tu arrives à faire jouir Annie en lui caressant le clitoris ?

- La plupart du temps oui mais il arrive que ça ne fonctionne pas ...

- Achète de l'huile chauffante ou une racine de gingembre. J'utilisait parfois cela avec Martine. Tu lui frottes le clito avec ça avant de lui goder le cul. Cela le rends très sensible au toucher. Martine me disait qu'elle sentait son cœur battre dans son clito et que cela la rendait très affamée de se faire caresser.

- Et l'effet est durable ? Elle est vraiment devenue une adepte de la sodomie ?

- Si je passe 3 ou 4 jours sans enculer Martine c'est elle qui me rappelle que son petit cul a besoin d'attention. Je l'ai même déjà surprise à se caresser le clito à 4 pattes sur le lit avec un plug enfoncé dans l'anus en plein milieu de l'après-midi !

- Génial tout ça ! Ne me reste plus qu'à proposer la même entente à Annie. Merci Seb. Je te passe un coup de fil si j'arrive à la convaincre. Tu me prêteras ta fameuse mallette pour 30 jours !


Deux semaine plus tard, Annie, par la fenêtre du salon, vit arriver Luc plus tôt que d'habitude de son traditionnel 5 à 7 du jeudi avec Sébastien. Ses joues s'empourprèrent lorsqu'elle vit qu'il sortait du coffre de la voiture une grande mallette. Elle était intimidée mais excitée de ce mois de découverte qui débuterais, elle s'en doutait bien, ce soir même ...

12 janvier 2010

La laisse

Je suis seule chez moi. Je vous attends. Cela fait trois fois que je repasse devant le miroir pour vérifier que tout est correct. Je porte ce profond décolleté provoquant, je suis nue sous ma jupe et j'ai attaché mes cheveux. Exactement comme vous l'aviez demandé.

C'est notre première rencontre et cela me rends nerveuse. Je suis certaine que tout se passera bien mais franchir le pas entre le réel et le virtuel me rends craintive. Ces nombreuses semaines de discussions via internet vous ont fait gagner ma confiance. Je vous suis soumise et obéissante à distance. J'aime déjà être votre objet, votre jouet.

Je jette un coup d'œil à l'horloge. Vous ne devriez pas tarder à arriver. Un dernier regard à mon miroir, je souris à mon reflet, cela me donne un peu de courage.

La sonnette retentit. Je me précipite vers la porte et ouvre.

- Bonsoir Maître ! dis-je d'un ton un peu trop enjoué pour cacher ma nervosité.

Vous ne me répondez que d'un geste. Votre doigt sur votre bouche me commande le silence. La surprise me fige quelques secondes. Je m'attendais à détendre l'atmosphère par une discussion banale.

Je recule d'un pas pour vous laisser entrer. Je suis intimidée . Vous pénétrez chez moi et refermez la porte derrière vous.

- Vas chercher ton collier de chienne et viens me rejoindre au salon.

Je suis chez moi mais je ne suis déjà plus l'hôte. Vous prenez possession des lieux comme vous avec pris possession de moi dès la première seconde. Votre voix que je viens à peine de découvrir résonne dans ma tête alors que je me hâte vers ma chambre pour récupérer le collier que je garde précieusement au fond de mon tiroir de lingerie fine.

Je reviens au salon. Vous êtes debout au milieu de la pièce. Vous me faites signe d'approcher. Je me place devant vous et vous tends le collier que vous prenez. Je n'ose pas bouger et encore moins parler. J'attends le moindre signe. Je suis à l'affût du prochain commandement. Déjà je constate que j'ai cédé tout pouvoir et que cette mise en scène déstabilisante ne me laisse pas le temps de réfléchir et d'avoir peur.

Vous faites quelques pas autour de moi. Je sens votre regard sur moi. Comme s'il s'agissait de la première fois que vous me voyiez. Comme si vous n'aviez pas scruté de dizaines de photos de moi précédemment. Comme si vous ne m'aviez jamais observé par le biais d'une webcam. Vous vous arrêtez derrière moi. Je ne peux voir votre regard mais je le sens sur mon corps, caressant, possessif, apaisant.

Je sursaute soudain. Votre main s'est posée sur mes fesses. Je la sens descendre doucement jusqu'au bas de ma jupe puis remonter sous celle-ci en caressant l'arrière de ma cuisse. Elle s'arrête quelques secondes sur mes fesses puisse disparaît.

- Bien. Tu es nue comme je l'ai demandé.

Je vous sens ensuite passer les bras autour de mes épaules. Je constate que dans vos mains se trouve mon collier et qu'en fait vous êtes en train de l'attacher autour de mon cou. J'aime sentir le cuir sur ma peau. J'aime sentir la présence de ce collier qui me rappelle sans cesse que j'ai choisi de me soumettre.

Vous revenez devant moi mais je vous trouve trop loin. Les deux mètres qui nous séparent me semblent des kilomètres tellement j'ai envie de vous toucher, de sentir enfin votre peau.

- Sors tes seins par ce décolleté. Je veux les voir.

Je fais la moue. J'espérais vos mains sur mon corps. J'étire mon chandail exagérément vers le bas et plonge la main droite dans mon soutien-gorge pour en sortie le sein gauche puis le droit. J'ajuste le tout pour les mettre bien en vue. Je me trouve grossière ainsi exhibée. Les seins qui pendent par ce décolleté trop échancré. Mais j'ai appris il y a longtemps, qu'avec vous, la coquetterie n'a pas sa place. Je ne peux choisir les angles qui m'avantagent, les trucs qui me mettent en valeur. C'est humiliant et chaque fois cela me fait grincer des dents.

J'attendais un commentaire. Un « bravo ». Un « bonne fille ». Mais rien. Que le silence qui me rappelle encore que rien ne se passera comme moi je l'ai imaginé, comme je le souhaiterais.

- À genoux !

Je m'empresse de m'agenouiller devant vous.

- Joue avec tes seins. Caresse-les ! Fais durcir tes mamelons. Pince-les !

Je m'attarde sur mes seins. Les malaxe avec vigueur. Un peu frustrée que ce ne soit pas vos mains qui les brusque ainsi, vos doigts qui les étire.

- Remonte ta jupe sur tes hanches. Je veux voir ton cul.

Je lâche mes seins et m'exécute puis vous jette un coup d'œil interrogateur, attendant la suite des événements. Vous plongez la main dans votre poche et en sortez une laisse. Un immense sourire s'éclaire sur mon visage. Vous approchez enfin et attachez la laisse à mon collier. Vous la tenez bien tendue pour que je sente bien votre emprise et de l'autre main vous dézippez votre pantalon et en sortez votre sexe déjà durci de m'avoir observé ainsi.

- Tu sais quoi faire.

Oh oui, je le sais. Et j'en ai envie depuis si longtemps ! J'empoigne votre queue fermement et en approche mon visage. J'hume son odeur suave qui m'enivre de désir. Je la caresse un peu. Ouvre la bouche. Sors la langue et y pose votre gland. J'entame ensuite une fellation gourmande. Je lèche, je suce, j'aspire, j'engloutis. Je suis extrêmement excitée et ma main libre empoigne mon mamelon gauche et le pince violemment créant une décharge électrique jusqu'à mon clito qui réclame aussi de l'attention. Ma main se dirige ensuite vers celui-ci et je me masturbe frénétiquement en continuant de vous sucer goulûment. Mais mon geste n'est pas passé inaperçu.

- Je t'ai dit de te crosser ? me demandez-vous en vous retirant de ma bouche.

- Non Maître, désolé.

- T'es une vraie chienne en chaleur ! Met-toi à 4 pattes, je vais te montrer comment on baise une chienne.

Je m'installe à 4 pattes. Vous vous placez derrière moi et me pénétrez d'un seul coup rapide et profond qui m'arrache un cri de surprise. Vous êtes immobile un instant. Je sens la laisse se raidir dans mon cou. Je sens votre queue dure étirer ma chatte. Je sens vos couilles appuyées fermement contre mon clito gonflé et sensible.

Vous entreprenez ensuite de me pilonner à un rythme d'enfer qui me laisse à peine le temps de respirer. Vous me baisez pour votre plaisir, pas le mien. Vous me baisez à votre rythme, pas le mien. Mais cela m'excite, me stimule. Je sens le plaisir monter en moi. J'aime la puissance des coups en moi. Vous me défoncez la chatte sans ménagement. Je me sens chienne. Je sens approcher un orgasme que je voudrais retenir. Un orgasme que je voudrais retarder le plus possible. Mais il éclate de façon fulgurante, me fait rugir comme une bête. Les spasmes de la jouissance me font crisper la chatte sur votre queue comme si je tentais de la garder en moi à jamais. Cela vous amène tout près de jouir vous aussi. Vous vous arrachez à ma chatte et revenez devant moi.

- Ouvre la bouche !

Je tends le visage et sors la langue. Vous éjaculez partout sur mon visage. Je tente d'attraper le plus de sperme possible dans ma bouche pour vous goûter et garder le souvenir de votre saveur. J'utilise mes doigts pour ramener votre semence vers ma bouche. Je les lèche goulûment pendant que vous refermez votre pantalon.

Puis vous plongez votre regard dans le mien et murmurez : «Maintenant, tu m'appartiens vraiment » en détachant la laisse de mon collier. Suite à quoi, vous tournez les talon et quittez mon appartement sans un mot de plus.

18 décembre 2009

Éclair Brûlant

Elle a peine à se rappeler comment tout a commencé. Ça s'est passé si vite. Dès le premier contact, le premier bonsoir, il l'a prise par les épaules pour l'approcher de lui et lui faire la bise. Elle a immédiatement senti la bosse dure de son sexe gonflé à travers les vêtements s'appuyer sur elle. Elle a aussi senti toute conviction fondre en elle, elle a balbutie quelques mots incompréhensibles puis s'est mise à suer à grosses gouttes en le regardant d'un petit air niais. Le fait de lui faire perdre ses moyens n'a pas déplu à l'homme.

Maintenant nue avec lui, dans l'intimité d'une porte fermée, elle n'a toujours pas repris pied. Complètement envoûtée par l'homme, elle laisse son propre corps et ses pulsions la guider; sachant trop bien qu'elle ne pourra lutter contre les désirs qui l'ont assaillie.

Elle s'est laissé attacher les mains derrière le dos et maintenant c'est deux doigts curieux et déterminés qui lui fouillent la chatte pendant que leurs regards sont perdus l'uns dans l'autre.

- Clack !

- Aille ! tu m'as claqué une fesse ! hurle t-elle, surprise de l'intensité de l'assaut.

- Ne lâches pas mes yeux, lui réponds l'homme d'un ton aussi calme que grave en la poussant à s'agenouiller près de lui.

Il lui tends alors ses doigts luisants de son jus. Lèche, fut le seul mot qu'il prononça. Et elle se mit à lécher ses doigts d'abord doucement en savourant le goût de son intimité et en le regardant profondément dans les yeux. Elle cherchait à percer cet esprit mystérieux qui avait tant d'emprise sur elle. À mesure que son excitation montait, elle suçait de plus en plus avidement et rageusement, jusqu'à en mordre ces doigts qui lui trituraient le sexe quelques minutes plus tôt .

- Clack ! Tu m'as mordu salope !

Cette fois-ci elle n'a pas crié. Elle a même soutenu son regard avec un petit air de défi. L'homme crispe la mâchoire et lui enfonce ses doigts au fond de la gorge jusqu'à lui faire mouiller les yeux.

- Ferme les yeux maintenant. Je vais enfoncer ma queue doucement dans ta bouche. Tu ne la connais pas. Tu ne sais pas jusqu'où elle va aller. Alors tu vas t'étouffer avec jusqu'à en avoir un haut le cœur.

Et sur ces paroles, il s'enfonce doucement dans la bouche offerte de la jeune femme. Ses yeux se plissent, ses sourcils froncent. La verge est rendue trop loin pour qu'elle parvienne à avaler sa salive. Elle lui coule sur le bord de la bouche et une larme roule sur sa joue. Elle ouvre ses yeux et tente de plonger son regard suppliant dans les yeux de l'homme.

- Tu les laisses fermés sinon je les bande.

Mais elle ne parvient pas à arracher son regard mi-effrayé mi- excités de l'homme qui lui impose tant de sensation enivrantes.

- Tu l'auras bien cherché. Alors bandeau ce sera. Je veux que tu sentes bien ma queue entrer dans ta gorge. Je veux pas que tu la vois. Juste que tu l'imagines

Et le noir lui voila le regard et elle s'activa à partir de cet instant à découvrir ce sexe durci avec sa langue. À le sentir et le goûter en tentant d'arracher à l'homme des gémissements qui l'encouragent et qui l'aident à savoir que ses caresses buccales lui plaisent. L'homme se mit à grogner un peu et a bouger. Il lui baise la bouche. Elle est incapable d'avaler sa salive. Ça lui coule partout. Ses larmes. sa salive, celle de celui qui s'impose dans sa bouche parce que lorsqu'il juge que ce n'est suffisamment mouillé il laisser couler un filet de sa salive sur son sexe tendu.

Il joue avec les mamelons durcis de sa victime. Les roule entre ses doigts, les étire et les écrase. Il ramasse quelque chose près de lui. Elle ne peut voir de quoi il s'agit mais bientôt la fulgurante douleur à l'un de ses seins lui révélera qu'il s'agit de nipple clamps ! Ça n'a pris qu'une fraction de seconde pour qu'elle réalise qu'une autre douleur semblable ne tardera à se faire sentir venant de l'autre mamelon.

- Que tu es belle ainsi parée lui murmura t-il en tirant sur la chaînette qui relie les deux pinces.

En guise de toute réponse, elle ne parvint qu'à gémir. Tentant de se défaire de cette douleur qui l'assaille. Mais il tient toujours la chaînette et chaque mouvement ne fait qu'empirer la situation. Alors elle cessa de se remuer, se calma.

- Oui. Tu bouges pas. Tu suces comme tu peux. Ou tu te laisses baiser la gueule.

Et pendant un moment encore il la maintint fermement près de lui en s'enfonçant profondément dans sa gorge et en n'en ressortant que pour y replonger de plus belle.

- Assez de ta gueule. Je veux ta chatte. Ton cul.

Comme elle a toujours les mains liées, il la retourne sur le ventre, la tête écrasée contre terre, le cul bien en l'air. Il passe sa queue tout le long de la fente humide, de son cul à son pubis.

- Tu mouilles salope lui dit-il en frappant son clitoris d'un coup de se verge durcie.

Bientôt les gémissement de la demoiselle se transforment en supplications alors qu'il passe sa main sous son ventre et va tirer un peu sur la chaînette des pinces qui lui pressent toujours les mamelons.

- Baise-moi murmure t'elle en un souffle.

- T'en veux hein ?

- J'ai besoin de ta queue dans ma chatte.

Il passe un doigt sur le bout de son gland plein de précum et du jus de ce sexe de femme si désireux et le porte à la bouche de l'aveuglée.

- Suce ordonne t-il.

Elle le prit entièrement et le suça voracement, bruyamment.

- Tu me mets dans un tel état. Je me sens bestiale. J'en veux. Touche-moi.

- Clack

- Ouille ! cria t-elle plus surprise que meurtrie

La claque suivant retentit plus fort sur son cul mais l'orgueil la fit serrer les dents et ravaler son cri. Elle sent la queue sur le bord de son trou baveux. Puis une autre claque qui lui fit perdre le souffle une seconde.

- Tes fesses rougissent. Ça me rends fou. Je vais tellement te mettre là. Plus je frappe plus tu mouilles. Je vois la cyprine couler le long tes cuisses. T'aimes ça hein ? Dis-le !

- J'adore quand tu rougis mon cul.

- Hum. Tu sais que je vais vraiment te défoncer comme une chienne ?

- Vite prends moi. Je me sens vide. Remplis-moi.

Elle relève les fesses, tente d'y intéresser son amant. Il lui prends par les hanches et la pénètre d'un coup de rein solide. Elle rugit. Et il ressort aussitôt.

- Tu n'as pas crié assez fort ma salope ajoute t-il en lui reclaquant les fesse à plusieurs reprises.

Elle se mit à chigner. Elle désire tant que ce pieu s'enfonce en elle encore. Elle en perds la raison et agis comme une chienne en chaleur. Elle n'est plus capable de parler normalement. Elle gémis, grogne, se brasse le cul en cherchant la queue.. Il lui enfonce le pouce dans le cul pour la calmer. Sans préparation. D'un coup. Elle cesse de bouger net. Surprise, elle tente de reprendre son souffle mais n'en a pas le temps car déjà il lui laboure le cul avec son pouce et de son autre main il vient pincer son clitoris très fort.

Cela l'amène au bord de la jouissance mais l'homme n'en peux plus. Il retirer son pouce et lâche le clitoris et enfonce sa queue dans la chatte chaude. Il amorce des va et vient à une vitesse incroyable. Il défonce la chatte en tirant et en te poussant la femme par les hanches. Elle sent ses doigts s'enfoncer dans sa chaire.

- J'aime sentir ta grosse bite glisser en moi. J'aime la sentir cogner au fond. Ça fait un peu mal mais c'est si bon.

Il sent très bien qu'il touche le fond mais pousse tout de même plus fort. Il replonge son pouce dans l'anus à demi-ouvert.

- Oh !

- Tu vas me faire jouir salope. Tu le veux où ?

- Sur mon cul de chienne. Sur mes fesses rougies

- Tu vas l'avoir sur ton cul de chienne. Petite pute ! grogne t-il avant de cesser de bouger. Fais toi aller sur ma queue si tu le veux.

Elle a perdu tout contrôle d'elle-même et s'empale comme une chienne sur le sexe prêt à éclater. Il lui détache les mains pour qu'elle puisse bouger à sa guise et recommence à lui ramoner le cul sauvagement avec son pouce.

- Fais toi jouir sur ma queue, salope.

Elle est si près de l'orgasme. Le prochain mouvement pourrait la faire jouir. Elle se recule pour prendre tout ce sexe en elle. Il en profite pour reprendre le contrôle et la défoncer violemment.

- Jouis ma chienne.

Elle se crispe. Il sent sa chatte serrer sa queue. Elle a cessé de respirer. Il n'en peux plus. Grogne de plus en plus fort. Elle est si tendue, un long silence survit et enfin les spasmes de son orgasme. Il ne veut plus jouir sur son cul. Il veut lui emplir la chatte. Il la plaque contre lui et dans un long râle, elle sens son sperme chaud l'inonder.

- J'aime sentir ton sperme me brûler. J'ai perdu tout contrôle. Fais de moi ce que tu veux.

Il sors sa queue. Il veux goûter. Il se couche sur le dos et installe la femme sur lui.

- Mange moi pendant que je te mange. Ton jus. mon sperme.

Elle engloutis la queue au complet. En savoure le goût de leur deux jouissance entremêlées.

- Tu me sens couler sur ton visage ?

- J'adore. Je n'en manque pas une goutte.

- Je suis si sensible après l'orgasme. Encore si excitée. Suce mon clito pendant que je lèche tes couilles. Tu es encore dur. Salaud ! Tu est encore prêt.

- T'as pas idée.....

Elle se retourne sur lui et approche son visage du sien. Elle l'embrasse avec sa bouche pleine de salive et de sperme. Puis elle enlève son bandeau et plante son regard dans le sien.

- Mon cul a envie de ta queue maintenant.

- Oh que oui je vais t'enculer. J'ai envie de sentir ton anus tout serré autour de ma queue.

- Lèche-le lui demande t-elle en se plaçant à quatre pattes.

- Belle chienne.

- Glisse ta langue dedans.

- T'as envie de ma langue ? de mes doigts ? de ma queue ?

- Hum oui. Mouille le bien, vas-y.

Il se penche derrière elle. Écarte tes fesses. Regarde le petit trou.

- Ma queue va être bien là dedans. Annonce t-il avant de cracher dessus.

- Oui ... ça m'excite. Ouvre-moi.

Il écarte ses fesses davantage à la limite de la douleur. Elle sait qu'il l'observe son cul, qu'il va le défoncer. Elle se mordille la lèvre du bas d'appréhension. Elle ne veut pas crier. Il l'écarte encore plus. Ouch ! Elle sait que plus rien ne l'arrêtera. Décide de se laisser guider.

Il insère le bout de ses 2 pouces dans son trou et l'écarte. Elle gémis et serre les dents. Il écarte plus. Il veut qu'elle crie.

- Ouille ! c'est trop ! se plaint-elle.

Il retire ses pouces et recrache sur son anus. Elle se calme un peu.

- Je vais le baiser maintenant ton cul ma chienne. Tu la veux ma queue dans ton cul ?

- Oui encule-moi . Ouvre-moi encore.

- Tu sais que ça va faire mal ?

- Oui mais j'en ai si envie. Va doucement. Prends-moi.

Il enfonce son majeur dans son cul doucement. Elle se lèche les lèvres. Il fait quelques mouvements de va et vient profonds avec son doigt. Elle sent qu'il se masturbe tout près d'une de ses fesses. Elle sent sa main bouger et parfois la frôler dans son mouvement de va et vient.

Il recrache sur l'anus tendu vers lui et insère un autre doigt. Cette fois-ci c'est elle qui recule sur ces doigts envahisseurs. Qui s'empale d'un coup en lui jetant un regard de défi. Il sors ses doigts. La regarde avec un petit sourire en coin.

- Tu veux jouer à ça. Eh bien ! Tu vas être servie ma chienne lui promet-il en guidant sa queue tout près de son anus. Elle sens son gland forcer l'entrée.

- Prends moi comme je le mérite.

- Écarte tes fesses si tu la veux

- Montre moi qui mène le supplie t-elle en prenant ses fesses pour les écarter.

- Plus que ça. Je veux bien voir ma queue te pénétrer.

Elle tire plus sur les deux globes de chair.

- Hummm. Belle chienne.

Les encouragements de l'homme l'encouragent. Elle tente de reculer sur la queue. Il se recule aussi.

- Impatiente ma salope ?

- Oui, j'en ai tant envie.

- C'est moi qui décide lui impose t'il en lui assénant une nouvelle claque sur le cul.

- Aille ! J'ai envie que tu te serve de mon cul de petite pute.

La claque l'a fait sursauter et lâcher sa position. Elle se replace, écarte ses fesses et attends.

- Good girl !

Il remets son gland sur le bord de l'anus. Elle respire de plus en plus fort, à la fois anxieuse et excitée. Elle essaie d'être patiente. De le laisser lui imposer le rythme. Cette dernière claque lui a suffit. Elle est bien décidée à obéir cette fois-ci. Le gland se remet à bouger et elle le sent la pénétrer doucement. Il lui semble énorme. Elle gémit. L'homme laisse couler un long filet de bave pour aider la pénétration. Son anus est si serré. Il ne peut que s'insérer doucement en elle. Ça lui fait mal. Il le sens dans ses gémissements. Des larmes montent aux yeux de la femme qui se sent transpercée de toute part. Mais elle est mouillée comme une chienne et sa douleur excite le mâle.

Elle ne bouge pas , souffre un peu mais connais son rôle. Elle aime le sentir l'enculer. Mais il ressort sa queue au complet et sans attendre la pousse au fond de sa chatte pour bien la mouiller. Elle sursaute, émet un petit cri. Elle ne s'attendait pas a ça. Il ressort aussitôt de la chatte va planter sa queue dans son anus encore ouvert d'un seul trait.

- Whhhhhooooaaaaaa !

Il pousse toujours plus loin. Il est bien au fond d'elle. Elle se sent fendue en deux. Il donne quelques coups de reins rapides mais profonds, des petits va et vient. Elle supplie :

- Ne bouge plus. Tu es si gros.

- Je te sens tellement bien autour de ma queue lui confie-t-il en cessant de bouger.

- Tu me remplis complètement.

Elle glisse sa main entre ses jambes. Et se met à se masturber frénétiquement. Il la sent se détendre peu à peu. Elle est moins crispée. Il adore qu'elle se masturbes ainsi. Il sent qu'il a de la place à bouger. Ça lui donne le go ! Il l'empoigne solidement par les hanches et lui donne un gros coup de reins. Il se sent animal. Il a envie de lui défoncer le cul. Elle gémit de plaisir. La douleur a cédé sa place au plaisir.

- Encule-moi ! Défonce-moi !

Il l'encule sauvagement. Violemment. Il claque son cul. C'est trop bon. Elle sent son orgasme approcher à une vitesse fulgurante. Son clitoris s'est transformée en une bille de chaire dure et extrêmement sensible. Elle sent la bite au complet entre ses fesse. Elle aime se sentir sa chienne.
Elle est au bord de la jouissance. Il le sait. Il la prend par les épaules pour cogner encore plus solidement sur ses fesses. « Prends la ma queue » Puis il lui met un doigt dans la bouche. « Suce. Tu vas me faire jouir. »

Elle suce son doigt. La bave coule partout.

- Je vais jouir grogne t-il.

- Où tu veux a t-elle à peine le temps de lui répondre avant que son propre orgasme ne l'envahisse.

- Woah ! Salope ! fut son dernier mot.

Ils s'effondrèrent tous les deux épuisés et repus. Se serrant l'un à l'autre en attendant que les dernières secousses de leurs orgasme simultanés s'estompent ...

16 décembre 2009

Le match

J'imagine être ta soumise. Un jour par semaine. Ou à l'occasion. Selon ce qu'on a envie. Je serais à toi pour la journée. Bien obéissante.

Aujourd’hui est un samedi et il y a un match du hockey en soirée. En fin d’après-midi, tu fais quelques téléphones. Tu invites des copains. Puis tu viens vers moi et me demande d'aller me doucher et me raser puis de te rejoindre dans la chambre. J’obtempère et vais te rejoindre, toute propre, la peau crémée et parfumée.

Tu me demandes de me placer à 4 pattes sur le lit. Tu me regardes, m'inspectes.Tu caresses mes seins. Pinces un mamelon entre tes doigts. Le tires un peu. Ça le fait durcir. Tu me dis que tu aimes voir mes seins dressés ainsi.

Tu te déplaces de l’autre côté du lit et appliques le même traitement à mon autre mamelon. Puis tu te places derrière moi. Je ne peux pas te voir mais je sens que tu regardes mon cul. Je rougis un peu mais je sais que j'ai pas intérêt à bouger.

Tu m'ordonnes d'écarter les jambes encore plus. J'obéis sur le champ. Tu vois bien mon sexe et mon anus. Tu glisses une main sur ma chatte pour vérifier que je n'ai oublié aucun poil en me rasant. Tu fais la même chose sur mon cul car tu exiges que mon anus soit toujours bien rasé. Je ne bouge pas. Je laisse tes mains se promener sur moi en espérant que le rasage te satisfasses. Tu me dis que je suis une bonne soumise obéissante. Je suis soulagée.

Tu places ensuite 2 doigts à l'entrée de ma chatte. J'ai un léger mouvement de recul ... comme pour les faire pénétrer en moi plus profondément. Tu les plonges dans ma chatte entièrement. Je gémis un peu. Tu les retires aussitôt. Tu me dis que je suis une salope, que je suis déjà trempe ...

Tu approches tes doigts de ma bouche et m'ordonnes de les lécher et les sucer. Je m’exécute immédiatement. Pendant que je lèche avec gourmandise, tu m'annonces que nous aurons de la visite ce soir, que je devrai t'être obéissante toute la soirée et te prouver que je suis une bonne soumise.

Tu m'expliques que 3 de tes copains seront ici pour regarder le match de hockey et que je serai à votre service durant tout le match. Je devrai servir les rafraîchissements et assouvir vos désirs. Je comprends que je serai la femelle de service. Je rougis en t'entendant me dire cela. Ça te fait sourire et tu me dis que tu es certain que ça me fait mouiller.

Tu retournes derrière moi et caresse mon clito du bout des doigts. Il est plein de mouille. Déjà tout dur et gonflé. Je ne peux que constater que tu as raison. Tu me masturbes encore un peu. Je gémis de plus en plus. Puis tu t'arrêtes. Tu me dis de ne pas bouger.

Tu te diriges vers l'armoire et y choisis des vêtements. Des bas mi-cuisse. Un string. Un soutien-gorge ouvert qui laisse voir mes mamelons. Et un collier de chienne. C'est tout. Tout ce que je serai autorisée à porter ce soir.

Tu reviens vers moi et reprends tes caresses. Tu touches d’abord mon clito. Puis enfonce deux doigts dans ma chatte. Tu me baises avec tes doigts. L'excitation monte en moi. Très rapidement. Je gémis et je soupire et soudainement, alors que je suis tout près de jouir, tes doigts me quittent.

Je grogne un peu. J'aurais voulu jouir. Tu me claques une fesse et me dit : « Tais-toi. Tu auras la permission de jouir à la fin de la soirée. Si tu as été bien obéissante. Pas avant. »

Tu me demandes de me préparer maintenant car tes copains vont bientôt arriver. Je dois attendre dans la chambre jusqu'à ce que tu me réclames. Tu retournes au salon préparer l'arrivée de tes amis. Je m'habille et entends la sonnette deux fois. N'en manque plus qu'un. Je suis déjà prête, le collier est à mon cou et j'attend, un peu nerveusement, que tu me réclames.

À ma grande surprise, tu m'appelles tout de suite. Je me dirige lentement vers le salon. Un peu nerveusement. Je t'y retrouve debout au milieu de la pièce. Trois homme sont déjà assis sur les divans. Deux d'entre eux sont probablement arrivés ensemble !

Je me place près de toi et tu me demandes de saluer tes amis. Timidement je leur dit bonsoir. Ils répondent avec un grand sourire. Tu m'annonces qu'il savent déjà quelle est ma tâche ce soir. Ensuite tu m’expliques que je dois d'abord servir à chacun, tour à tour, ce qu'ils désirent boire et qu'ensuite je devrai sucer chaque queue qui se présentera à moi.

Tu vas t'asseoir parmi eux. Je m'avance un peu maladroitement vers le premier homme. Je lui demande ce qu’il désire boire. Il choisit une bière.

Je pars vers la cuisine, consciente du regard des hommes sur moi. Je reviens avec la bière, la lui tends. Il me demande d'approcher un peu plus près et en profite pour caresser mon sein. Je te cherches du coin de l'œil. Tu me fais signe de me laisser toucher autant qu'il le désire. Je rougis a nouveau et le laisse caresser mon autre sein.

Ses mains me quittent et je me dirige vers le second mec. Le manège reprends .. lorsque je reviens lui servir sa bière, il en profite lui aussi pour caresser mes seins.

Le troisième est différent. Il exige que je me tourne dos à lui et touche mes fesses. Il te dis à voix haute : " on devrais lui enlever ce string, pour voir si elle mouille".

Tu répliques que je perdrai des vêtements à chaque entracte et que je finirai le match avec pour seul vêtement, mon collier de chienne. La réponse lui plait.

Je me diriges finalement vers toi. Tu me demandes une bière en me pinçant un mamelon. Lorsque je reviens te la servir je m'aperçois que tu as dézippé ton pantalon et que ton sexe, à demi durci est déjà dans ta main.

Tu demandes que je m’agenoue devant toi. Et j'entreprends de te sucer. Tes copains ont du mal à suivre la match. Bientôt, l'un deux sors une queue bien bandée de son pantalon. Tu me repousses et me fais signe d'aller m'occuper de lui.

J'ai à peine le temps de poser ma bouche sur sa queue qu'il gémit déjà. Les deux derniers mecs n'en peuvent plus et se débarrassent de leurs pantalons immédiatement. Ça m'excite de voir toutes ces queue dressés en attente de ma bouche. Je goûte les deux derniers et déjà la 1ere période du match semble terminée.

Tu m’ordonnes de me lever et d’offrir une seconde tournée de rafraîchissements. Juste avant le début de la période suivante, tu me demandes d'enlever mon soutien-gorge et les bas mi-cuisse.

Le match recommence et puisque vous êtes tous déjà bien excités, j'entreprends de vous sucer à tour de rôle, passant de gauche à droite, changeant de queue chaque 3 minutes.

À ce moment j'ai perdu toute timidité. Je me sens femelle et chaude. Je me sens reine de votre plaisir. Je vous suce goulûment et avec faim.

Le second entracte arrive. Tu me demandes d'aller boire un verre d'eau et de prendre quelques minutes pour me reposer. À mon retour au salon, tu m'annonces que pour la dernière partie du match je dois vous sucer jusqu’à la jouissance. Avaler et lécher proprement tout le sperme qui me sera donné. Puis tu m'ordonnes de retirer mon string et de me placer à 4 pattes.

Je m'exécute. Tu touche ma chatte et constate à quel point je suis trempée. Chaque fois que tes doigts frôlent mon clito, un frisson de plaisir parcourt mon corps. Tu lance mon string à tes amis pour qu'ils constatent à quel point il est mouillé. Chacun passe son commentaire. Certains vont même jusqu'à le sentir.

Le match recommence et je me dirige vers le premier qui m'appelle. J'entreprends de le sucer du mieux que je sais le faire. Ça me prends à peine 5 minutes pour le faire exploser dans ma bouche ! Il répand son sperme sur ma langue et j'avale le tout d'un trait.

Un second n'en peux plus. La simple vue de ce spectacle l'a amené au bord de la jouissance. Lorsque je m'approche de lui, il enfonce sa queue au fond de ma gorge et me tenant la tête et se répands dans ma gorge. J'essaie de tout avaler sans en perdre une goutte mais du sperme coule sur mon menton. Il le ramène vers ma bouche avec son doigt que je lèche avidement.

Lorsque je lève les yeux, tu me fais signe de m'occuper de ton 3ième ami. Je me diriges vers lui et entreprends de le sucer pour le faire jouir. Je dois le sucer un bon 10 minutes pour y parvenir. Enfin il agrippe mes cheveux et me renverse la tête vers l'arrière. Il me demande d'ouvrir la bouche bien grande. il pointe sa queue vers ma bouche et éjacule dedans. Je sens le sperme atterrir sur ma langue. J'attends qu'il ait terminé pour tout avaler. Il me dit : « vas y maintenant, fais moi disparaître tout ça. » J'avale le tout et réouvre la bouche pour lui montrer quelle est vide. Il semble satisfait et relâche mes cheveux.

Je m'approche ensuite de toi. Tu seras mon dessert. J’ai envie de ta queue et de ton sperme. Mais comme j'arrive près de toi, tu me repousses. Me congédies. Tu me demandes d'aller t'attendre dans la chambre. Nue, sur le lit. Je constate que le match est terminé et obéis.

Tu reconduis tes amis a la porte rapidement. Tous te remercient pour cette soirée. Et tu viens me rejoindre.

En entrant dans la chambre, tu m'embrasses profondément. Je comprends que tu es fier de moi. Tu laisses ensuite ta bouche se promener sur mon corps et goûter chacun de mes mamelons. Puis tu descends vers mon clito. Tu te régales de ma chatte trempée. J'ai tellement mouillé que ça a coulé le long de mes cuisses. Je gémis dans ta bouche ...

Tu m'ordonnes de me placer à 4 pattes. Tu te places derrière moi et enfonce ta queue dans ma chatte affamée d'un seul trait. J'en tremble de plaisir. Tu me baises fort. En à peine deux minutes tu m'arraches un orgasme foudroyant. Je hurle mon plaisir et tu laisses ta queue en moi le temps que je reprenne mes esprits. Puis tu m'annonces que c'est mon cul qui te fera jouir. Tu caresses mon clito un peu et prends sur tes doigt un peu du jus de ma chatte. Tu entreprends de caresser mon cul, de le lubrifier avec mon propre jus. Tu bouges doucement ta queue dans ma chatte pendant que de deux doigts tu me dilates le cul.

Bientôt tu me sens prête. Tu m'as habitué à la sodomie. Tu retires ta queue trempe de ma chatte et la place a l'entrée de mon cul. Tu pousse doucement pour y faire entrer le gland. Une fois à l'intérieur, tu me dis : " Vas-y. Encule-toi sur ma queue. Prends-la au complet entre tes fesses. »

Je me recules doucement pour faire pénétrer ta bite en moi. Tu aimes me voir m'enculer comme une chienne sur ta queue bandée. Bientôt, elle est profondément dans mon cul. Je sens tes couilles contre mon clito. Tu glisses une main sous moi et entreprends de le caresser.

J'ai tellement envie de toi que je te supplie : " Vas-y. Encule-moi. Baise mon cul! »

Alors tu bouges dans mon cul. Tu te retires et y replonges. Tu possèdes mon cul et le baise à volonté. Je gémis fortement. J'aime sentir ta queue entre mes fesses. Tu m'encules de plus en plus fort. Ma main a remplacé la tienne et je caresse mon clito. Je n'en peux plus ... Je vais jouir … Je te l’annonce.

Tu me dis "Vas-y. Je vais jouir aussi. Je vais te remplir le cul de mon sperme pendant que tu as un orgasme ".

À peine quelques secondes plus tard, je jouis. Les contractions de mon cul déclenchent ton orgasme. Et je sens ton sperme me remplir le cul. Nous gémissions de plaisir en même temps et nous nous effondrons sur le lit en sueurs et épuisés.

29 novembre 2009

Soir d'été

Elle batifolait doucement dans son bain en cette fin d'après-midi. L'eau chaude, la mousse onctueuse au parfum délicat, la musique douce, tout semblait appeler au calme et à la relaxation. Mais en elle, c'était tout le contraire ! Ses pensées s'affolaient depuis qu'elle avait reçu ce bref message la veille. Un message de son Maître, cela la mettait toujours dans un état d'excitation et de fébrilité. Surtout lorsqu'il lui annonçait une rencontre et cela même s'il ne s'agissait pas de leur première rencontre.

Depuis déjà quelques mois, elle Lui appartenait. Elle s'était offerte à Lui en un élan spontané après simplement quelques semaines de discussion. Cet homme lui inspirait confiance. Il était beau et intelligent mais surtout elle se sentait bien avec Lui. Malgré sa grande nervosité et sa perpétuelle crainte devant l'inconnu, tout c'était toujours merveilleusement bien passé à chacune de leur rencontres et elle en gardait de délicieux souvenirs.

Ces doux frissons d'appréhension lui étaient revenus la veille en lisant ces mots sur son écran d'ordinateur « Vendredi 19h . Stationnement du centre commercial. Jupe au dessus du genoux. Blouse se boutonnant à l'avant. Sandales. Pas de sous-vêtements. Interdiction de masturbation d'ici là. À bientôt ma petite »

Ce n'était pas une invitation, c'était un ordre. Elle le savait. Il connaît son horaire dans le moindres détails et savait qu'elle serait libre à ce moment. Et si elle avait eu entre temps planifié un quelconque souper avec une copine, elle aurait décommandé, prétextant un soudain mal de tête ou une grande fatigue suite à sa dure semaine de labeur au boulot. On ne badine pas avec les commandements d'un Maître. Elle l'avait appris bien assez vite !

Elle sortit du bain. S'épongea minutieusement avec un large drap de bain puis s'enduit le corps de cette crème qui rends sa peau si douce. En caressant son corps en entier, elle pensait à Lui. Lui qui sait tant l'émouvoir, la faire frissonner. Lui qui la possède et use d'elle pour son plaisir. Lui qu'elle a toujours si hâte de revoir. Elle pense à Lui et sent son clitoris se gonfler, pulser entre ses jambes. Elle sent son sexe frais lavé redevenir moite. Elle sent l'odeur de son excitation se mêler subtilement à celle de la crème qu'elle étend avec de plus en plus d'entrain sur ses fesses, ses cuisses, ses seins. Ses pensées vagabondent mais bientôt le temps la ramène à l'ordre. Il ne lui reste que 15 minutes pour finir de se préparer et se rendre au rendez-vous. Surtout il ne faut pas être en retard; il n'apprécierais pas !

Elle se rends à sa chambre. Prends sur le lit la courte jupe noire qu'elle y a posé plus tôt lorsqu'elle a choisi ses vêtements selon les ordres reçus. Elle enfile la jupe. Puis les sandales. Elle aime se regarder ainsi dans le miroir. Cela lui donne un air provoquant. Presque salope. Les talons des sandales donnent un galbe intéressant à ses mollets et font ressortir ses fesses. Elle sourit à son reflet puis enfile la blouse dont elle laisse volontairement le bouton du haut défait. Elle attrape ses clés et son sac à main puis sort de chez-elle. En se rendant à la voiture, le vent se glisse sous sa jupe et caresse son sexe humide. Lui rappelant ainsi sa quasi-nudité. Elle frissons légèrement d'appréhension et d'excitation face à cette soirée dont elle ne sait rien.

Elle conduit machinalement jusqu'au lieu de rendez vous, pas très loin de chez elle. Elle trouve facilement la voiture de son Maître dans le stationnement de ce centre commercial achalandé comme chaque vendredi soir. À coté de sa voiture, une place libre : elle était attendue ! Elle consulte sa montre, presque inquiète, elle a deux minutes d'avance. Fiou. Elle se gare. Descends de sa voiture. Il vient la rejoindre.

- Bonsoir ma petite chienne.

- Bonsoir Maître dit-elle en souriant.

- Je vois que tu as bien débuté ta soirée. Tes vêtements me plaisent. Juste assez provocante. J'aime voir un peu tes seins par l'ouverture de blouse. Détache un autre bouton » ajoute t-il en lui ouvrant la portière de sa voiture côté passager.

Elle défait un autre bouton, consciente que cette fois, au moindre mouvement du tissus, des yeux voyeurs peuvent très bien remarquer qu'elle ne porte pas de soutien-gorge puis prends place sur le siège. Il referme la porte et vient s'asseoir au volant. En mettant le contact il ajoute : «Relève ta jupe et écarte bien tes cuisses. Je veux avoir accès à ma petite chatte en conduisant. » Elle souris timidement mais obéis doucement. Elle se sent vulnérable ainsi offerte mais heureuse d'être dans la voiture à l'abri des regards curieux.

Il conduit en silence. Elle ne sait pas où il l'emmène mais s'en fout éperdument. Elle est avec Lui. Enfin ! Et puis, il lui fait perdre la tête en glissant ses doigts le long de sa fente humide, en taquinant son clitoris, en lui fourrant deux doigts dans la chatte.

- Une vrai salope. T'as envie que je te baise hein ?

- Oh oui Maître !

- « Eh bien pas maintenant » coupe t-il en retirant ses doigts soudainement.

Elle avait tellement envie qu'il continue. Qu'il la fasse jouir, là, tout près de lui en conduisant. Elle le désire tant cet orgasme qu'elle se défends depuis 2 jours. Et voilà qu'il ne fait que la titiller. Elle serre les dents de frustration en laissant s'échapper un petit soupir.

- Qu'ais-je entendu ?

- Rien. Pardon Maître.

- N'oublie jamais que tu es là pour mon plaisir et non le tien. Tu n'es qu'un jouet. Qu'une salope qui devrait être heureuse que je m'intéresse à elle.

- Oui Maître. Désolé. C'est que j'ai tant envie de vous. Tant envie de jouir par vos mains.

- C'est bien. Mais pour le moment, replace tes vêtement. Nous somme arrivés !

Ils se trouvent devant un petit restaurant dont elle a déjà entendu parler mais n'a jamais visité. Elle le suit docilement à l'intérieur et prends place sur la chaise qu'il lui indique. Elle ne s'attendait pas à choisir la table mais reste tout de même surprise chaque fois de se retrouver dans cette position où elle ne décide rien. Il commande deux apéro identiques auprès du serveur qui leur sourit et tous deux se plongent dans la lecture du menu.

L'apéro la détends agréablement. Elle discute des différents plats qui l'intéressent et entre lesquels son choix vascille. Puis le serveur se présente à leur table et la regarde, tenant son stylo et son calepin.

- Je vais prendre ...

- Elle prendra les pâtes aux poulet coupe son Maître.

Le serveur reste un moment muet. Elle aussi.

- Et pour moi ce sera le bœuf braisé ajoute t-il.

Cette fois elle baisse les yeux, rougissante. Mais comment a t'elle pu croire qu'elle pourrait choisir quoi que ce soit ? Elle se sent prise comme une gamine. Humiliée un peu aussi devant l'air interdit du serveur qui est reparti sans mot dire. Il y a des années que personne n'a choisi à sa place au restaurant.

- Tu oublies qui je suis jeune femme ...

- Oui. Je m'en excuse. Je dois adopter une attitude plus soumise.

- Exactement ! Et dès maintenant tu te rendra aux toilettes. Je veux que tu te masturbes. Mais il t'es interdit de jouir et de te laver les mains par la suite. Je veux que tu pénètres 2 doigts dans ton cul pendant que tu te crosse comme une chienne en manque. Et pince tes seins, je veux les voir pointer sous ton chemisier lorsque tu reviendras.

Elle ne sait que répondre. Un peu sous le choc de cette demande pour le moins inattendue. Mais en plongeant son regard dans celui de son maître elle voit bien qu'il ne rigole pas. Sans un mot, elle se lève et se rends aux toilettes. Elle prends place dans une stale. Remonte sa jupe sans prendre soin de la dégraffer et se caresse frénétiquement de frustration de s'être fait prendre comme une novice, d'avoir été ramenée à l'ordre sous les yeux de cet employé. Elle plonge d'un seul trait deux doigts dans sa chatte. Son jus y est déjà abondant et recouvre rapidement ses deux envahisseurs. Elle les ressort et s'emploie maintenant à caresser son anus. Le forçant un peu pour qu'il s'ouvre bien. Déjà un doigt y est à l'aise. Elle continue de caresser son clitoris de la main droite en poussant maintenant un deuxième doigt de sa main gauche dans son cul. Une fois qu'ils y sont tous les deux. Elle les bouge en elle mimant une queue qui la sodomiserait. Ainsi pénétrée, elle a du mal à ne pas jouir. Elle voudrait tant se libérer de cette tension sexuelle et ressentir enfin l'explosion de plaisir libérateur. Mais elle s'arrache à ses caresses. Lâche son clito et pince ses mamelons. Ils sont déjà durcis mais elle les tire un peu en le tordant. Elle tient à ce qu'ils pointes clairement comme son Maître lui a demandé. Surtout ne pas le décevoir encore!

Satisfaite du résultat, elle replace sa jupe et sors de la toilette. Elle prends cette démarche fière et provocante en retournant vers la table. Elle croise le regard de son Maître. Il sourit, visiblement satisfait. Elle reprends place face à lui.

- Tends-moi tes mains petite pute

- Pardon ? demande t-elle encore sous la surprise de cet ordre

- Tends tes deux mains vers moi par dessus la table. Je veux les sentir.

Elle rougit vivement et obtempère. Il prends les mains dans les siennes, en approche son visage et les hume une à une.

- Tu as mis la gauche dans ton cul. L'odeur est plus acre. L'autre sent ton jus de chatte en chaleur.

Il lâche ses mains juste au moment où le serveur arrive avec leurs plats. Le reste du repas se passe de façon détendue. La nourriture est bonne et la discussion va bon train. Ils parlent de sexe, de fantasmes, de leur relation, du futur, mais aussi de leurs passe-temps, des sports qu'ils aiment, de musique. Lorsque le serveur revient prendre leurs assiettes vides, il s'adresse à l'homme pour leur proposer le café et le dessert. Mais celui-ci annonce plutôt qu'ils vont quitter.

Il fait déjà noir lorsqu'ils sortent de l'établissement. Près de sa voiture, elle attends qu'il lui débarre la portière. Il vient la rejoindre, se place face à elle, glisse sa main sous sa jupe et remonte le long de sa cuisse. Un frisson la traverse, elle a tant envie de l'embrasser, de se blottir dans ses bras, de se laisser caresser ainsi debout dans le stationnement. Il plonge deux doigts dans son intimité.

- Tu es trempée. Une vraie chienne. J'ai ce qu'il faut ...

Il ouvre alors la portière, et prends un sac posé derrière le siège. Il en sort un collier de chien qu'il installe autour du cou de sa soumise. Un simple collier de cuir noir avec un anneau à l'avant. Il y attache ensuite une laisse qu'il laisse pendre entre ses seins. Finalement, dans le sac se trouve un bandeau qu'il lui noue autour de la tête en s'assurant qu'elle est maintenant complètement aveugle. Elle se laisse ainsi parer, sans dire un mot, en tremblant un peu intérieurement . Elle se concentre sur sa respiration pour rester calme. Et ce répète sans cesse que c'est cette confiance qu'elle a en lui qui lui permet de vivre ces moments, ces émotions, qui lui permet d'obéir, d'être l'objet de plaisir de son Maître, de se sentir Sienne.

En lui tenant le bras, il la guide sur le siège et referme la portière. Lorsqu'il prends place derrière le volant il lui ordonne de déboutonner entièrement sa blouse. Il souhaite voir ses seins en conduisant. Elle s'exécute, heureuse que la nuit soit tombée car cela lui offre un brin d'intimité. Mais à mesure qu'ils avancent sur la route elle distingue parfois les phares d'une voiture qu'ils croisent en sens inverse. Elle se demande silencieusement si ses occupant la voient. Finalement, elle est heureuse d'être ainsi aveuglée par la bande de tissus. Elle n'a pas à affronter les regards.

Soudain, elle sursaute. On vient de lui pincer un mamelon. Ce n'est pas que le serrement ait été douloureux outre mesure mais le fait qu'elle n'a pas vu la main s'approcher l'a surpris. Elle l'entends rigoler. Il aime la torturer un peu ainsi. La surprendre, la déstabiliser. Lui laisser croire qu'elle est en plein contrôle de tout ses moyens, qu'elle est calme et confiante pour ensuite la surprendre.

Quelques minutes de ce jeu plus tard, elle sent la voiture sortir de la route et prendre un embranchement à droite. Ils se trouvent selon elle sur un chemin sans doute plus petit, plus cahoteux. Puis ils s'arrêtent complètement en bordure. Elle n'a aucune idée d'où elle se trouve, de ce qui l'attends.

Sa portière s'ouvre et son Maître attrape la laisse. Il tire un peu dessus. En sortant de la voiture elle sent le vent plus frais de la nuit caresser ses mamelons déjà durcis par les frôlements et les pincements subits précédemment. Son attention se porte sur les bruits qui l'entourent. Elle reconnaît le bruissement du vent dans les feuilles et au loin le son des voitures qui circulent. Elle s'imagine aux abords d'une route secondaire près d'une forêt.

Puis l'ordre claque.

- À genoux salope. Suce-moi !

En s'agenouillant précipitamment elle sent l'herbe sous ses genoux que la jupe est trop courte pour protéger. Elle cherche des mains la fermeture-clair. Mais rencontre plutôt la chair durcie d'un membre en érection. Elle approche sa bouche et prends le sexe dressé d'un trait. Elle en avait tant envie. Elle voulait s'imprégner du goût de cette queue.

- N'utilise que ta bouche. Je veux pas sentir tes mains.

- Mmouuiii, grommelle t-elle la bouche pleine de son érection.

Elle s'affaire alors à lécher, sucer, aspirer, téter, engouffrer l'épée de chair. Elle sent son propre jus couler le long de ses cuisses. Elle désire tant se faire prendre par ce Maître qui tient la laisse attachée à son collier. Elle se sent bestiale, vorace, affamée. Elle souhaite ce sexe en elle pour combler le vide qu'elle sent s'agrandir à chaque minute qui s'écoule.

- Mouille-la bien. Mets-en de la bave c'est le seul lubrifiant auquel tu auras droit.

Alors elle salive, elle bave, elle crache. Elle mouille la queue complètement puis sent une main attraper son bras et l'aider à se relever. Son Maître l'amène à l'avant de la voiture et lui ordonne de poser ses deux mains à plat sur le capot. Il laisse pendre la laisse à son cou, se positionne derrière elle, attrape ses seins en même temps et les malaxe par l'ouverture de la chemise. Lorsqu'il les lâche c'est pour re montrer sa jupe très haut sur ses hanche, exposant son cul nu.

- T'en as envie de ma queue hein ?

- Très envie ...

- Tu voudrais que je te fourre comme une chienne. Que je te fasse jouir avec ma grosse queue. C'est cela ?

- Oh oui Maître. Prenez-moi! Baisez-moi ! Fourrez-moi !

- Clack !

Une forte claque s'abattit bruyamment sur ses fesses, la faisant tressauter.

- Je ferai de toi ce que je veux petite pute en manque. Elle sentait encore le vif pincement de la paume de sa main lorsqu'elle perçut une pression sur son anus. Il allait l'enculer ! Là ! Au bord de la route ! Alors qu'elle ne souhaitait que sentir ce sexe dressé envahir sa chatte dégoulinante de son excitation, il avait préféré son cul. La pression sur celui augmentait de plus en plus. Elle savait que ses gémissement n'y feraient rien. Il allait la posséder de cette façon. Elle inspira profondément et tenta de se relaxer pour faciliter l‘envahissement, le rendre moins pénible. Peu à peu, elle sentit l'orifice se détendre, s'ouvrir sous la poussé du gland si dur. Elle dut crisper la mâchoire pour s'empêcher de crier alors qu'il donne la poussée finale, celle qui la vit conquise. Il était entièrement en elle. Elle sentait la large base de sa queue lui distendre l'anus.

- Te voilà bien soumise. Bien enculée. Prends ça !

Et il entama de long va et viens en elle. D'abord lentement, lui donnant le temps de savourer toute la longueur de sa virilité. Puis de plus en plus rapidement, à mesure que son plaisir grandissait. Ses seins nus pendaient et bougeait à chaque coups de rein de son envahisseur. Elle s'appuyait autant qu'elle pouvait sur ses deux mains en relevant le derrière le plus haut possible afin de faciliter l'intromission du membre gonflé en elle. Il la sodomise ainsi pendant plusieurs minutes. Jusqu'à ce qu'elle devine à sa respiration haletante et ses gémissement que l'orgasme de son maître approchait.

Il sortit d'elle et sans qu'il ait eut à dire un mot. Elle était déjà à genoux devant lui. Le visage tendu vers sa queue, la bouche ouverte pour recueillir sa jouissance. Il fit exprès pour ne pas viser sa bouche. Préférant lui en mettre sur les joues, le nez, le menton. Elle bougeait son visage, tentant désespérément d'en attraper les plus possible dans sa bouche pour le goûter, l'avaler. Mais le bandeau sur ses yeux lui rendait la tâche presque impossible.

- Ne t'essuie pas ! Viens nous partons.

Il la guida de nouveau dans la voiture, l'aida à s'asseoir et c'est en silence qu'ils reprirent la route. À peine quelques minutes plus tard. Ils s'arrêtèrent de nouveau. Une fois encore, elle se retrouve debout à côté de la voiture, face à lui.

- Ferme les yeux.

- Ok Maître.

- « N'ouvre les yeux que lorsque tu entendras que je suis parti » ajoute t-il en lui mettant un papier dans les mains.

- D'accord.

Il enlève alors le bandeau qui lui enserrait la tête et décroche la laisse. Elle perçoit ensuite qu'il s'éloigne. Bientôt le bruit du moteur de la voiture est trop loin pour se faire entendre. Elle est seule. Elle ouvre les yeux. Cligne un peu. Un lampadaire l'aveugle. Elle est de retour dans le stationnement. Sa voiture auprès d'elle. Elle profite de la lumière du lampadaire pour lire le message :

« Retourne chez toi et masturbe-toi comme une salope. Jouis pour moi. Après seulement tu pourras te laver. »

Elle reboutonne son chemisier et se dépêche d'entrer dans sa voiture à l'abri des regards. Elle met rapidement le contact et se précipite chez elle. Elle attends cet orgasme depuis si longtemps. Elle sait qu'il viendra rapidement et sera foudroyant.

Arrivée à son immeuble, elle est heureuse de ne croiser personne dans les escaliers qu'elle grimpe 2 par 2 jusqu'au 3ième étage. À peine entrée chez elle, ses vêtement volent au sol. Elle s'allonge sur son lit et sa main rejoint son sexe. Elle se caresse frénétiquement, ne pensant qu'à jouir, qu'à se libérer de toute l'excitation accumulée au cours de cette soirée auprès de cet homme qui la rends folle de désir. Bientôt elle sent son pouls s'accélérer, sa respiration devenir courte et pénible. Le sperme séché craque sur son visage lorsque sa bouche s'ouvre cherchant de l'air. Son autre main se promène sur ses cuisses, son ventre, ses seins. Lorsqu'elle se pose sur le collier de chienne qu'il a laissé à son cou, la jouissance explose dans son ventre : soudaine, brusque, foudroyante. Et elle pousse un long gémissement de satisfaction en s'affaissant sur le lit, épuisée mais comblée.