24 mai 2012
05 mars 2011
06 février 2011
22 janvier 2011
11 janvier 2011
Jouons !
On joue encore ?
Quel est le titre et l'interprète de la chanson dont sont tirées ces paroles ?
" In my head, I see you all over me. In my head, you fulfill my fantasy."
Quel est le titre et l'interprète de la chanson dont sont tirées ces paroles ?
" In my head, I see you all over me. In my head, you fulfill my fantasy."
06 janvier 2011
Trouvé dans mon bas de Noel ...
(et je ne parle pas de ceux-ci)
Le velours du chocolat qui fond sur ma langue, l'amertume du citron qui crispe délicatement mes joues et le piquant de l'aphrodisiaque gingembre ... Un pur délice !
Velouté, amer et épicé. Tel une gorgée de sperme.
Le velours du chocolat qui fond sur ma langue, l'amertume du citron qui crispe délicatement mes joues et le piquant de l'aphrodisiaque gingembre ... Un pur délice !
Velouté, amer et épicé. Tel une gorgée de sperme.
02 janvier 2011
27 décembre 2010
Salée ...
26 décembre 2010
Petit Papa Noel avait une surprise pour moi dans sa poche ...
Imaginez deux jouvencelles, les meilleures amies du monde. L'une d'elles très délurée, la coqueluche des garçons du collège, se livre avec eux à toutes sortes de coquineries, mais sans franchir certaines bornes, car elle veut garder son pucelage pour son futur mari. L'autre donzelle, en revanche, ne tolère aucune familiarité de la part de ses condisciples mâles... tout juste si elle accepte de flirter, et encore ! Et si les apparences étaient trompeuses ? Si la plus dévergondée des deux n'était pas celle qui retire si souvent sa culotte au cinéma, ou en voiture... Si la timide pécore qui rougit dès qu'on parle de sexe était au contraire un monstre de perversité, si elle avait un esclave sexuel ? À elles deux, c'est à qui inventera les sévices les plus cruels — et les plus délicieux — pour torturer et utiliser leur homme à tout faire.
25 décembre 2010
18 août 2010
Le grand orme
La petite chienne frissonne. Elle n'a pas froid. Son Maître l’attend tout simplement près de la porte, dans le hall d'entrée. Elle le sait car elle a entendu les maillons de la chaîne s'entrechoquer lorsqu'il l'a prise dans ses mains. Ce son, celui de la laisse, elle le connaît bien. Il est annonciateur d'une balade à l'extérieur.
Elle porte les mains à son cou. Son collier y est bien en place. Serré et solide. Elle ferme les yeux un instant et pose le couteau sur le comptoir de la cuisine avant de se mettre à quatre pattes. La confection du repas attendra.
Elle se rend ainsi vers son maître qui l’attend en souriant. Il est si fier de la petite chienne qu'il a dressée. Obéissante et attentive au moindre son qui lui dicte sa conduite.
Elle est nue. Elle l'est toujours en sa présence. Il aime poser son regard sur elle à tout moment et rien ne doit lui être caché. En s'arrêtant sur la paillasse aux pieds de son maître, elle songe au vent qui bientôt caressera sa peau dénudée. Elle pense à l'air frais qui lui semblera si froid sur son sexe trempé. Elle anticipe la dureté de ses mamelons qui se crisperont dès qu'elle franchira la porte.
- "Viens ! " dit-il en attachant la chaîne à son collier. "Un peu d'air te fera du bien, petite chienne en chaleur."
Son visage s'empourpre. Ainsi son maître n'a rien raté du désir qui la dévore ! Elle est arrivée chez lui depuis bientôt deux jours, profitant d'un long congé pour le retrouver. Elle lui a donné du plaisir. Elle lui a offert sa bouche et son cul. Il l'a caressée, agacée, excitée. Elle a tant envie de jouir. Sa chatte étant restée vide. Si vide.
Le maître tire sur la laisse, la tirant de ses pensées. Ils franchissent la porte et se retrouvent sur l'herbe. Ne sachant ce que son maître attend d'elle, elle le suit de très près. Se laissant guider par les pas de celui qui tient la laisse.
Ils traversent le terrain et se dirigent à l'orée du bois. Elle s'énerve soudainement. Va t-il la guider au grand orme ?
Il guette la chienne, un sourire en coin. Il s'amuse de la voir se trémousser ainsi à ses côtés. Il sait qu'elle n'en peut plus. Que le désir l'a gagnée depuis plusieurs heures déjà. Que le jus de sa chatte ruisselle constamment entre ses cuisses. Il la maintient dans cet état d'excitation depuis trop longtemps. Elle a supplié il y a quelques minutes de lui permettre de jouir enfin. Mais il l'a envoyé à la cuisine. Elle a soupiré et obéi.
Chaque pas qui les rapproche de l'arbre renforce son excitation. Et s'il ne faisait que lui passer sous le nez ? Et si quelqu'un la voyait ? Et si ...
Arrivés au pied de l'orme, elle lève son regard interrogateur vers son maître.
- Mais qu'est-ce que tu attends, chienne ?
Elle fait rapidement le tour de l'orme et trouve le godemiché qui a été cloué au tronc à quelques pouces du sol. Un organe de 8 pouces en silicone retenu à l'arbre par les couilles. Elle le renifle. Le lèche. L'embouche. Le mouille.
Elle entend son maître ricaner mais déjà elle n'y prête plus attention. La bête a pris le dessus. Elle se retourne et tends son derrière. Le gland trouve son clito. Elle s'y frotte. L'englue. Et d'un trait elle s'empale sur le jouet. Un gémissement sort de sa bouche, puis un autre, et un autre. Elle bouge et se baise, à 4 pattes, dehors, nue. Aux pieds de son maître qui tiens la laisse en s'amusant de la voir ainsi s'abaisser, prendre son plaisir.
Elle bouge de plus en plus vite. Elle craint qu'il l'arrête avant qu'elle n'ait joui. Qu’il tire sur la laisse et la prive de l'orgasme, la laissant encore plus frustrée. Elle se baise profondément, durement, un peu bestialement. Elle court vers la jouissance et enfin la voilà. Sn corps se crispe, se tends, s'effondre.
Mais elle n'a pas le temps de reprendre son souffle déjà une tension sur la laisse se fait sentir ...
Elle porte les mains à son cou. Son collier y est bien en place. Serré et solide. Elle ferme les yeux un instant et pose le couteau sur le comptoir de la cuisine avant de se mettre à quatre pattes. La confection du repas attendra.
Elle se rend ainsi vers son maître qui l’attend en souriant. Il est si fier de la petite chienne qu'il a dressée. Obéissante et attentive au moindre son qui lui dicte sa conduite.
Elle est nue. Elle l'est toujours en sa présence. Il aime poser son regard sur elle à tout moment et rien ne doit lui être caché. En s'arrêtant sur la paillasse aux pieds de son maître, elle songe au vent qui bientôt caressera sa peau dénudée. Elle pense à l'air frais qui lui semblera si froid sur son sexe trempé. Elle anticipe la dureté de ses mamelons qui se crisperont dès qu'elle franchira la porte.
- "Viens ! " dit-il en attachant la chaîne à son collier. "Un peu d'air te fera du bien, petite chienne en chaleur."
Son visage s'empourpre. Ainsi son maître n'a rien raté du désir qui la dévore ! Elle est arrivée chez lui depuis bientôt deux jours, profitant d'un long congé pour le retrouver. Elle lui a donné du plaisir. Elle lui a offert sa bouche et son cul. Il l'a caressée, agacée, excitée. Elle a tant envie de jouir. Sa chatte étant restée vide. Si vide.
Le maître tire sur la laisse, la tirant de ses pensées. Ils franchissent la porte et se retrouvent sur l'herbe. Ne sachant ce que son maître attend d'elle, elle le suit de très près. Se laissant guider par les pas de celui qui tient la laisse.
Ils traversent le terrain et se dirigent à l'orée du bois. Elle s'énerve soudainement. Va t-il la guider au grand orme ?
Il guette la chienne, un sourire en coin. Il s'amuse de la voir se trémousser ainsi à ses côtés. Il sait qu'elle n'en peut plus. Que le désir l'a gagnée depuis plusieurs heures déjà. Que le jus de sa chatte ruisselle constamment entre ses cuisses. Il la maintient dans cet état d'excitation depuis trop longtemps. Elle a supplié il y a quelques minutes de lui permettre de jouir enfin. Mais il l'a envoyé à la cuisine. Elle a soupiré et obéi.
Chaque pas qui les rapproche de l'arbre renforce son excitation. Et s'il ne faisait que lui passer sous le nez ? Et si quelqu'un la voyait ? Et si ...
Arrivés au pied de l'orme, elle lève son regard interrogateur vers son maître.
- Mais qu'est-ce que tu attends, chienne ?
Elle fait rapidement le tour de l'orme et trouve le godemiché qui a été cloué au tronc à quelques pouces du sol. Un organe de 8 pouces en silicone retenu à l'arbre par les couilles. Elle le renifle. Le lèche. L'embouche. Le mouille.
Elle entend son maître ricaner mais déjà elle n'y prête plus attention. La bête a pris le dessus. Elle se retourne et tends son derrière. Le gland trouve son clito. Elle s'y frotte. L'englue. Et d'un trait elle s'empale sur le jouet. Un gémissement sort de sa bouche, puis un autre, et un autre. Elle bouge et se baise, à 4 pattes, dehors, nue. Aux pieds de son maître qui tiens la laisse en s'amusant de la voir ainsi s'abaisser, prendre son plaisir.
Elle bouge de plus en plus vite. Elle craint qu'il l'arrête avant qu'elle n'ait joui. Qu’il tire sur la laisse et la prive de l'orgasme, la laissant encore plus frustrée. Elle se baise profondément, durement, un peu bestialement. Elle court vers la jouissance et enfin la voilà. Sn corps se crispe, se tends, s'effondre.
Mais elle n'a pas le temps de reprendre son souffle déjà une tension sur la laisse se fait sentir ...
16 août 2010
Ah Guillaume !!!
Menoum ! Peu importe le look.
Ce n'est pas la première fois (et certainement pas la dernière) que tu me fais cet effet !
On se gâte sur grand écran à nouveau
Ce n'est pas la première fois (et certainement pas la dernière) que tu me fais cet effet !
On se gâte sur grand écran à nouveau
06 août 2010
Le plan était simple
Merci les sexyboys pour la belle soirée d'été passée en votre compagnie !
Another day is going by
I'm thinking about you all the time
But you're out there
And I'm here waiting
And I wrote this letter in my head
Cuz so many things were left unsaid
I'm trying to forget that
I'm addicted to you
But I want it and I need it
I'm addicted to you
01 août 2010
Oeufs
Elle prépare un gâteau. C’est son Maître qui lui en a donné l’ordre. Elle cuisine souvent mais rarement dans cet accoutrement. Elle est nue sous son tablier de cuisinière au style un peu vieillot. Il est noué sur ses reins ne couvrant rien de son fessier rougi par la fessée qu’elle a reçu plus tôt. Elle porte des souliers à talon haut qui lui comprime les pieds et la déséquilibre.
Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.
Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.
Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.
Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »
Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.
Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.
« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »
Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.
Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »
Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.
Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.
Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.
Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.
Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.
« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »
Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.
« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »
Le Maître est assis au salon. Il lit. De son fauteuil, il n’a qu’à lever les yeux pour apercevoir la petite pâtissière à l’œuvre. Il la sent nerveuse. Elle sursaute à chacun des bruits qu’il fait. Cela l’amuse. Il bouge parfois intentionnellement pour créer ces réactions.
Elle tente de se concentrer sur la recette. Elle ne doit pas rater ce gâteau. Elle désire impressionner son Maître et ses invités. Mais son derrière écarlate lui donne l’impression d’illuminer toute la pièce. Et ce tiroir qui la nargue. Le tiroir à ustensile. C’est là que le Maître a rangé la cuillère de bois dont il s’est servi pour la punir de son impertinence ce matin.
Elle bondit. Il est là. Tout près. Si près derrière elle.
Il lui chuchote à l’oreille : «Je te rends nerveuse petite salope ? »
Elle ne répond pas. Se contentant de baisser le regard et laisser ses joues rosies la trahir. Il attrape deux œufs sur le comptoir et en dépose un dans chacune de ses mains. « Tends les bras bien haut de chaque côté de toi ». Elle s’exécute immédiatement. Il glisse ses bras sous les siens et, de ses grandes mains, lui caresse les seins. Il sent les pointes se durcir sous ses effleurements. Il les prend entre ses doigts et les pince d’abord légèrement. Il les tire, les tourne, les écrase.
Elle gémit et commence à se dandiner sous la douleur.
« Ne bouges pas ! Et ne t’avise surtout pas de briser les œufs. Tu en as besoin pour le gâteau. Il serait très fâcheux que tu doives expliquer à mes invités pourquoi tu n’as pu leur confectionner un bon dessert. »
Il continu de jouer avec ses seins quelques minutes. Elle sent le désir de l’homme grandir contre ses fesses. Il bande.
Il lâche ses seins et la guide vers une autre position. « Écarte les jambes, pose les coudes sur le comptoir et cambre les reins, petite »
Sa position lui semble grotesque. Les coudes dans la farine, les œufs dans les mains et son cul ainsi relevé. Mais elle se positionne et attend la suite des événements.
Il avance son bras vers le comptoir et attrape une noisette de beurre directement avec ses doigts dans le beurrier. « Tu vas saisir la signification de l’expression : comme dans du beurre, maintenant » dit-il en ricanant.
Honteuse, elle ferme les yeux alors qu’il enduit le trou de son cul de ce lubrifiant improvisé.
Il pose son gland contre l’anus de sa soumise. Et d’un seul trait s’enfonce en elle.
Elle grimace. L’intrusion est si soudaine. Mais elle n’ose pas bouger. Elle se soumet au désir pressant de son Maître. Il augmente la cadence des va-et-vient entre ses fesses. Chaque coup de rein lui cuit les fesses et lui rappelle qu’elle a été bien punie.
« Tu peux serrer les dents mais ne serre pas les poings, les œufs casseraient. »
Il continue de la pilonner quelques minutes en la retenant par les hanches. Sa respiration s’accélère et il se met à gémir lui aussi. Il se crispe et se répand en elle en un flot de plaisir. Alors qu’il sort de son cul, elle sent le sperme lui couler le long des cuisses.
« Il t’est interdit de t’essuyer ! Et dépêche-toi de terminer ce gâteau si tu veux avoir le temps de te laver et te changer avant d’ouvrir la porte à mes amis. »
30 juillet 2010
J'aime la canelle et Cindy
Je n'ai jamais douté des vertues aphrodisiaques de la canelle. Adolescente, il me suffisait de macher un chewing-gum a la canelle pour que tous les jeunes mecs croisés dans la rue me paraissent appétissants.
J'aime aussi Cindy, ou plutot les sextoys dont elle garni sa boutique. Il était grand temps que je découvre que Cindy Cinnamon a maintenant un blog et que mon sexshop préféré a une boutique en ligne digne de ce nom.
J'aime aussi Cindy, ou plutot les sextoys dont elle garni sa boutique. Il était grand temps que je découvre que Cindy Cinnamon a maintenant un blog et que mon sexshop préféré a une boutique en ligne digne de ce nom.
29 juillet 2010
Plaisir oral
"Aujourd'hui, je t'offre ma bouche, ma langue et mes dents." Il ne pouvait être plus clair. Sa soumise avait bien saisi le message.
Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.
Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …
Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...
.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.
Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.
Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.
Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.
Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.
Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.
Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.
Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.
Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.
La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.
D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.
Honteuse, elle fige un instant.
« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »
Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.
Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.
Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.
« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »
La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...
Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.
« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »
Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.
« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »
À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.
« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »
Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.
Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.
En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.
« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »
« Merci Maître » murmure t’elle doucement.
Il est couché sur le dos. Complètement habillé. Elle est à ses côtés. Nue comme au jour de sa naissance. Il est silencieux et immobile. Ses paupières sont closes. Elle sait ce qu'Il attend d'elle. Elle n'a la permission de ne toucher que sa bouche et sa langue.
Elle s'approche lentement de lui. Pose délicatement le front sur ses lèvres pour lui faire sentir la fièvre qui la gagne. Elle glisse ensuite sa joue délicatement sur sa bouche en une langoureuse caresse qu'elle termine en posant ses lèvres chaudes et humides sur les siennes. Lui offrant un tendre baiser. Elle glisse alors doucement sa langue dans la bouche de son Maître à la rencontre de la sienne qu’elle aspire légèrement. Lorsqu’Il consent à lui offrir entièrement, elle l’entoure de ses lèvres et la déguste comme s'il s'agissait de sa queue. Avec l'espoir bien peu caché, de Lui prouver ainsi son talent et de mériter cette queue dans sa bouche …
Elle tète sa langue, y enroule la sienne, l'aspire, la déguste, la caresse, la suce. Elle sent l’excitation de l’homme grimper. Elle voit le pantalon se déformer. Son désir de lui augmente également. Elle quitte sa bouche un instant. Le temps de bouger légèrement et d'en approcher son mamelon droit. Il est érigé, durci, gonflé de désir. Elle en caresse sa lèvre, sa bouche, sa langue. Ce contact la fait frémir ...
.Il mord le bout de son mamelon sans avertir et lui souris ensuite discrètement.
Elle se recule subitement. Surprise. Elle ne retient pas son cri de douleur. Elle lui l'offre. Humblement. Elle scrute le visage de son maître et y aperçoit le sourire. Elle serre les dents. Baisse le regard. Vis la douleur qu’il lui a offerte.
Elle hésite un instant. Immobile. Puis approche l'autre mamelon de sa bouche. Lui abandonne.
Il le mord aussitôt. Avec plus d'ardeur encore, voulant entendre ses cris de détresse.
Cette fois elle s'y attendait. Elle n’a pas le réflexe de se dérober. Elle utilise chaque parcelle de sa dévotion pour se convaincre de ne pas bouger. Un râle de douleur sort de sa gorge. Les larmes envahissent ses yeux.
Quand il lâche prise, elle continue de caresser sa bouche avec son mamelon endolori. L'exposant à une nouvelle morsure.
Bientôt elle sent la mouille couler le long de ses cuisses. Sa chatte est brûlante de désir et trempée d'envie de lui. Elle se déplace avec lenteur. Enjambe sa tête, plaçant un genou de chaque côté de celle-ci. Elle écarte les cuisses autant qu’elle le peut. Son sexe mouillé se retrouve très près de la bouche de l’homme. Elle l'approche avec gourmandise. Frôle ses lèvres trempées sur les siennes. Elle sent sa langue poindre et se glisser dans sa fente. Elle bouge, s'y caresse.
Elle se dandine de plus en plus rapidement sur son visage. Sa respiration s'accélère. Son souffle est court. Son corps tendu. L'orgasme est imminent.
Elle s’arrache à celui-ci d'un coup de bassin vers l'avant. Elle reste sur ma faim. Pantelante. Soumise. Ruisselante.
La mouille a coulé le long de sa fente et inondé son cul. Elle le sent palpiter d'excitation. Elle le place au bout de sa langue. La sent bien dure et effilée. Elle s'enfonce sur elle. D'abord avec prudence. Elle gémit de sentir son anus se dilater. Et cède à la chienne en elle. Elle s’encule. Sur lui. Pour lui. Constamment.
D’un mouvement brusque, il bouge la tête et crache dans l'anus avec un dégoût théâtral.
Honteuse, elle fige un instant.
« Encule-toi toute seule, pour Moi. Je veux m'abreuver de ta chatte. Remplis ma bouche »
Elle corrige sa position. Lui offre sa chatte de nouveau. Elle glisse deux doigts dans son cul. La salive qui en dégoutte l'aide à les y glisser.
Elle se frotte la chatte frénétiquement contre la bouche de l’homme en s'enculant avec vigueur. L'envie de jouir revient très vite. La soumise coule. Mouille. Elle se crispe et l’orgasme monte en elle.
Il attrape ses mamelons et les pince de toutes ses forces en les tenant entre son index et son majeur, la main revirée, les doigts repliés, et il les tourne le plus qu’il le peut.
« Tu crois que tu vas avoir un orgasme dans ma bouche espèce de petite salope ? »
La douleur la tétanise. Elle pousse un hurlement. Son corps se plie en deux. Elle n'ose plus bouger. Elle ose à peine respirer ...
Il relâche les mamelons et agrippe une cravache au pied du lit. Il lui fouette le cul comme si je voulais le ramollir à l'extrême. Quand les fesses sont rougies à point, il enfonce le manche dans l’anus tendu. De plus en plus profondément.
« Tu peux laisser venir l'orgasme salope. Viens dans ma bouche. »
Les coups ont fini de la casser. Elle abandonne son anus à la poussée constante du manche de la cravache. Un râle de plaisir monte en elle. Elle le sent monter en surface. L'envahir. Elle jouit la chatte collée à sa bouche. Infiniment reconnaissante.
« Ma bouche pue le sexe. Nettoie-la, sur-le-champ. »
À peine remise de ses émotions. Le corps encore tremblant, elle se mets à la tâche. Elle lèche ses lèvres, le contour de sa bouche, son menton. Elle poursuit incessamment attendant un signal pour cesser.
« Place-toi pour que je lave ton cul... oh, il en redemande? »
Elle s’installe sur le champ à 4 pattes. Les genoux largement écartés. Le épaule posées au sol. Les mains tendues devant elle. Les reins indécemment cambrés pour que ses fesses s'écartent et que mon cul s'offre convenablement. Il palpite encore de l’orgasme obtenu.
Il sort sa queue durement gonflée et la pousse dans l‘anus ouvert tout simplement. D'une simple pénétration, Il remplit le cul soumis de sperme chaud.
En sortant son sexe coulant, Il se penche pour embrasser les fesses rougies une à une Et lèche ensuite sa propre semence fraîchement chiée de l’anus encore tremblant.
« Tu es une bonne petite salope. La meilleure qui soit. »
« Merci Maître » murmure t’elle doucement.
27 juillet 2010
Se branler avec l'argent de mère-grand
Y'a un coeur dans mon corps en chaleur.
Mère-grand ne cuisine plus. J'aime bien cuisiner un peu plus que nécessaire et remplir son réfrigérateur de petits plats qu'elle n'aura qu'à réchauffer le moment venu.
Comme je refuse toujours qu'elle m'offre quelque compensation monétaire que ce soit, il lui arrive de glisser un billet à mon insu dans les contenants qu'elle me retourne toujours duement lavés et prêts a recevoir un nouveau repas.
Je caresse le billet innattendu entre mes doigts en souriant doucement. Qu'achèterais-je avec cet argent ? Un nouveau vibro ? J'en ai déja trop. Un bon bouquin érotique sur lequel je me branlerai longuement? Probablement.
Une chose est certaine. Je jouirai avec l'argent de Mémé. Parfois le bien et le mal semblent se faire un clin d'oeil au passage ...
Mère-grand ne cuisine plus. J'aime bien cuisiner un peu plus que nécessaire et remplir son réfrigérateur de petits plats qu'elle n'aura qu'à réchauffer le moment venu.
Comme je refuse toujours qu'elle m'offre quelque compensation monétaire que ce soit, il lui arrive de glisser un billet à mon insu dans les contenants qu'elle me retourne toujours duement lavés et prêts a recevoir un nouveau repas.
Je caresse le billet innattendu entre mes doigts en souriant doucement. Qu'achèterais-je avec cet argent ? Un nouveau vibro ? J'en ai déja trop. Un bon bouquin érotique sur lequel je me branlerai longuement? Probablement.
Une chose est certaine. Je jouirai avec l'argent de Mémé. Parfois le bien et le mal semblent se faire un clin d'oeil au passage ...
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