Esparbec - La pharmacienne

L'endos du bouquin

Esparbec, l'auteur de La Pharmacienne, refuse avec horreur d'être considéré comme un écrivain érotique. Il se définit avec fierté comme " pornographe à part entière ", et à ce titre il a publié une centaine de volumes qu'il range lui-même dans la catégorie des " bouquins de cul ".
Mais qu'on ne s'y trompe pas : cette écriture, apparemment simple et directe, mais d'une redoutable efficacité érotique, est en fait l'aboutissement d'une maîtrise suprême dans l'art de l'expression licencieuse. Bien loin des contorsions pseudo-" artistiques ", trop souvent le lot sempiternel des romans contemporains, Esparbec pratique avec bonheur la pornographie pure.
Dans l'Anthologie historique des lectures érotiques, Esparbec a eu droit à une longue notice fort élogieuse comme " le dernier des pornographes ", pour sa production puissamment libidineuse (il a d'ailleurs aussi publié de " vrais romans ", comme il dit).

Mon appréciation (5/10)

Tout d'abord trop court. Ensuite trop incestueux et finalement décue que l'action se passe toute dans la même nuit. Mais ça demeure du Esparbec et il a le don de me mettre dans tout mes états ... d'excitation !

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