08 août 2007

Extrait


"Je baisse les yeux sur son corps nu, sur le souple hémisphère de son cul blanc et doux, en forme de lune, je rive mon regard sur son ouverture anale encore dilatée car je viens d'en axtraire mon pénis. Je sens l'odeur de notre transpiration, arôme putride qui se mêle à l'air ambiant selon des courants invisibles. J'essuie ma verge de la main et renifle mes doigts pour humer la légère odeur fécale. Discret parfum de la merde de ma maîtresse que j'ai râclée et forcée en entrer très loin en elle.

Je lui demande : "Ça ne t'a pas fait mal, c'est vrai ?

- Un peu, au début. Je n'aurais jamais cru que ça pourrais entrer si loin sans me déchirer complètement. Ça m'a paru monumental, d'abord, ça me brûlait. Après, quand tu as été tout entier à l'intérieur, je me suis détendue, peut-être parce que j'avais moins peur, et que ça a commencé à être bon. Et alors, tu as commencé à remuer. Jésus, j'ai cru que j'allais mourir tant la sensation était forte. Je ne voulais plus qu'être décorée par toi. Mangée vivante. baisée dans le cul jusqu'à ne plus rien sentir. Sodomisée. Que ce mot est bizarre !"

Maxim Jakubowski, Ma vie chez les femmes

3 commentaires:

  1. Bonjour Sexy Soda !
    C'est drôle sa vision de la sodomie, que je respecte, mais parce c'est en général sans être crade si l'hygiène est là, l'un des raffinements le plus délicieux à donner (et à recevoir) que je connaisse... Bisous libertins.

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  2. complètement d'accord avec vous

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  3. Je vois que j'ai affaire à une connaisseuse... Ça n'est pas si courant... J'ai voulu vous écrire, mais je n'arrive pas directement, mon Pc est mal configuré, vous pouvez m'envoyer un mail si vous le désirez, je vous répondrai, superbe votre site (mon mail est sur mon blog). Bisous libertins

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