Recevoir un appel de la bibliothèque de la ville m'annonçant que "
La pharmacienne" que j'avais réservé m'attends au comptoir de prêt le jour même où je termine "
Les mains baladeuses", C'est ce que j'apelle une jolie coïcidence.
Je n'aurai pas le temps de refroidir entre ces deux romans d'Esparbec ...
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