La grippe porcine.

Est-ce que je suis plus à risque parce que je suis cochonne ?

Pensée du jour.

"Je veux du sexe. Rien d'autre ne m'intéresse. Il y a là l'union divine entre un homme et une femme. Il y a là, à partir de la rencontre, un jeu qui commence et qu'il ne faut jamais avoir peur de jouer à fond. L'harmonie se fait toute seule, l'unique outil est le corps. Il y aura toujours un corps qui aura plus de besoins que l'autre. C'est la magie des corps qui désigne lequel. Et puis vient le moment où tout est fini, où tout a été fait. Tant pis. Il y en aura un autre. L'union des corps c'est comme le sel et la mer. Indissociable. Il n'y a aucune limite de perversion dans celà."

Petra Raguz, Culte de l'Érotisme.

Half-Nekkid Thursday #33

Tout droit sorti de ma collection personnelle.

Extrait

Je tiens mon entrejambe avec ma main. Je me roule sur le dos. Je ne sens plus que mon désir et mon obsession de toi. Nue, en chaleur, en grande chaleur, mieux qu'un animal ... une bestiole ... une bête stimulée.

Le Maître : Mets un peu de salive sur tes lèvres !

(...)

Je prends beaucoup de salive sur mon doigt. Je touche mon clito. Jéprouve la sensation de toi, ta pensée me guide. Ta brûlure me torture. M'indique le rythme de ma masturbation. Je caresse mon sein et mon sexe dans ce rythme diabolique. Les deux communiquent inlassablement ensemble. Je suis sur la voie de non-retour, je fixe ton regard, droite, enchantée, heureuse.

Le Maître : Ouvre-le !

J'écarte encore plus mes jambes et je continue à caresser mes lèvres. Ta présence est au loin dans la pièce, tu ne me touches pas. Tu ne fais que me parler. Ton royaume des mots est immense. Je ne fais que de me perdre. Je me perds volontairement. Je m'envoie des petits coups d'extase si raffinés, emblématique comme des brises de mer.

Le Maître : Ouvre-toi ! Montre-moi ! Touche-toi!

J'ouvre mon sexe et me caresse le clitoris. Allusions, penetration, vision de ton sexe. Si fortement dressé vers moi.

Le Maître: Allez ! Encore un peu.

Je me touche, je ne sais pendant quelle durée. Harcèlement mental, libération des énergies vitales, j'en ai besoin pour vivre.

Extrait de Culte de l'Érotisme de Petra Raguz

Je me sens moins seule ...

via PostSecret

Ailleurs

Je manque de mots pour ce blogue. De temps ou d'inspiration. Peut-être même les deux. Alors je vous invite Chez Lui.



Parce que ses mots sont si jolis qu'ils caressent l'âme du lecteur en nous.

Parce que ses sirènes ont l'effet d'effluves opiacées.

Parce que la dépendance croit avec l'usage : Õpium