21 janvier 2009

Martin Zurmühle




Le collant filet .... j'adore !

La photo est une oeuvre de Martin Zurmühle dont vous pouvez visiter le site ICI

18 janvier 2009

Stefan de Lay




Il est possible de psaser des heures chez Stefan De Lay. Des heures de ravissement occulaire ...

16 janvier 2009

extrait


"Elle s'est appliquée pourtant, elle a peaufiné son personnage : La Femme de Caractère qui revendique son indépendance à des copines fatiguées de leur quotidien, de leurs marmots et de leurs époux sans égards. Des copines qui envient ce célibat libertin où chaque jour s'offre à l'insoupçonnable et l'imprévisible. Mais dans les faits, dans la vie vraie, ce sont elles qui osent les embardées et les sorties de route.Car une existence qui « investit » dans le fortuit et le hasard n'a plus de place pour le fortuit et le hasard. Sortir, rencontrer des gens, travailler et se dire que, à chaque instant, on peut et va peut-être sous des mains et un charme qu'on ignore encore, c'est prévoir, c'est être en attente. Tandis que des copines, heureusement ou paresseusement mariées, frôlent la bascule de leur vie le quart de seconde d'un regard. Un regard qu'elles n'ont pas guetté, qui les a kidnappées. Un regard à cuase duquel elles se mettront en jeu, ou pas, des conforts soigneusement engrangés, et grâce auquel elles éteindront, ou doubleront, leur ardeur au mariage."

(Jazz, Sophie Cadalen, dans Femmes Amoureuses)

Horst Werner




Il s'agit d'une très jolie photo de Horst Werner

Pensée du jour.


"La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre."

Charles de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu

14 janvier 2009

Pensée du jour.


"A propos de chaque désir, il faut se poser cette question : quel avantage en résultera-t-il si je ne le satisfais pas ?"

Epicure

Alex Krivtsov




Encore une trouvaille dans la catégorie photographes très talentueux.

Alex Krivtsov.

11 janvier 2009

Sens


Je ne suis pas la seule à mélanger les plaisirs. Les péchés gourmands et les péchés charnels. Nestlé l'a compris aussi. Comme en témoigne la campagne de publicité pour les produits Nestlé Noir.





By the way, l'échantillon de chocolat chaud Nestlé noir glissé dans ma boite postale était délicieux à siroter au lit hier soir ...

10 janvier 2009

Pensée du jour


"Ceux qui répriment leur désir sont ceux dont le désir est assez faible pour être réprimé."

William Blake

John Tisbury

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Extrait


"Il la traitait vraiment comme une putain ! Mais, après tout, avait-il tord ? N'étais-ce pas ce qu'elle était ? Puisqu'elle acceptait son chantage ? Une putain ... le mot la brûlait, et l'excitait en même temps. N'est-ce pas le rêve de toutes les honnêtes femmes (...) que de faire une jour, impunément, la putain ? N'est-ce pas pour celà que Lily passait d'amant en amant, choisissant avec discernement des hommes mariés qui ne pourraient pas prendre avantage de leur liaison en public ... Ne les traitaient-ils pas comme une putain ? Une putain dont ils se servaient, avec qui ils faisaient leurs cochonneries, avant de retourner auprès de leurs épouses. Et n'étais-ce pas ce que Lily attendait d'eux, en fait, qu'ils la traitent de cette façon ? "

ref: Esparbec, Les mains baladeuses

09 janvier 2009

Pensée du jour


" Tous ceux qui ont pris les Muses pour femme sont morts de faim, mais tous ceux qui les ont pris pour maîtresse en ont été heureux"

Samuel Johnson

Ben Marcato

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Extrait


"Mon gland avait disparu; quand j'encule une femme, un des moments les plus délicieux, pour moi, est celui de l'intromission du gland, le passage de la frontière, après, il n'y a plus qu'à se laisser glisser dans la chaude infamie ...

J'adore enculer une femme. Pas vous ? Il y a dans cet acte quelque chose d'avilisant, de dégradant, on a vraiment le sentiment de la souiller, et de se souiller soi-même, par la même occasion. Cet ange de douceur et de pureté vous donne son trou du cul !

Les grimaces qu'elles font quand ça commence à entrer, le four qu'elles ouvrent, les yeux qu'elles écarquillent ! Personnellement, cela me ravit. Une femme ne s'ouvre vraiment que quand elle donne son cul et pour cela accepte de prendre cette posture accroupie et bestiale, si ridicule, si humiliante. On peut dire que son amour propre en prend pour son grade. Comme on lui fait alors payer avec usure, et avec délices toutes les petites vexations qu'elle a pu nous faire subir.

Aussi, mon plaisir quand j'encule une femme, ne serait pas complet sans une pointe de sadisme. C'est pourquoi alors que j'étais déjà à demi enfoncé dans le cul de Toni, qui s'ouvrait avec béatitude à mon intrusion, me vint l'envie soudaine de la faire encore souffrir ! Il faut dire qu'elle se prêtait à l'enculage de si bon coeur que cela me frustrait. J'avais envie de la faire payer (Ne me demandez pas quoi, exactement. Sans doute d'être épris d'elle ?) J'achevai donc d'entrer en elle avec une brutalité inouie, l'ayant agrippé par les fesses, bien qu'elles fussent glissantes.

- Tu es ma chose, pensais-je, empli d'une absurde exaltation, en lui fourrant mon d¸ard au fond du cul. Tu en mon territoire. Mon écurie ... ma porcherie ... Tu es mon église. Et dans cette église, je trouverai mon salut.

Je ne me rendis compte que j'avais parlé à voix haute qu'en entendant Toni me dire, avec un petit rire moqueur :

- Amen.

Me jurant de lui faire payer tôt ou tard sa raillerie, je m'enfonçai avec volupté dans sa fange tiède. J'aurais voulu pouvoir m'y engloutir tout entier."

ref: Esparbec, Monsieur est servi

08 janvier 2009

Pensée du jour


"Quand un homme est fou d'une femme, il n'y a qu'elle qui puisse le guérir de sa folie."

Proverbe chinois

Jan Saudek


Une photo de Saudek, un style si particulier ...



saudek.com

Extrait


"Fouts, en un mot fouts, c'est pour cela que tu es mise au monde.Aucune borne à tes plaisirs, que celles de tes forces ou de tes volontés. Aucune exception de lieu, de temps, de personnes. Toutes les heures, tous les endroits, tous les hommes doivent servir à tes voluptés. La continence est une vertu impossible, dont la nature, violée dans ses droits, nous punit aussitôt par mille malheurs...

Ton corps est à toi, à toi seule. Il n'y a que toi seule au monde qui ait le droit d'en jouir et d'en faire jouir qui bon te semble."

Sade, La philosophie dans le boudoir.

07 janvier 2009

Pensée du jour


« Ne dites pas à une femme qu'elle est jolie. Dites-lui seulement qu'elle ne ressemble pas aux autres, et toutes ses carrières vous seront ouvertes. »


Jules Renard

Alfredo J. Andrès





Référence : http://www.alfredoandres.com/
(la navigation se fait a partir du mot menu en bas à gauche)

Extrait


"Cornelia retint son souffle pendant que l'homme tournait la clé dans la serrure. Il en était toujours ainsi, songea-t-elle. Quelque chose ne collait pas si elle ressentait autre chose que de la nervosité, de l'excitation sexuelle, une peur bleue, la sensation de s'exposer à un danger, mais aussi celle d'être engagée à fond dans les événements qui étaient sur le point de se passer. Elle connaissait chaque risque, mais chaque fois qu'elle jouait à ce jeu dangereux, elle était consciente qu'une partie obscure d'elle même l'obligeait à retourner vers les eaux troubles de sa sexualité. Comme un dépendance qui aurait envahi chacune de ses cellules. Quoi qu'elle fit pour garder l'esprit rationnel, elle était obligée de reconnaître que cela faisait partie de son être le plus profond, et qu'elle n'avais aucun moyen d'échapper à cette emprise. Le pire était, bien sûr, la pleine conscience qu'elle avait de ce défaut majeur dans sa cuirasse.

"Dompteur d'Ange" ouvrit la porte.

- Entrez.

(...)

- Les femmes soumises me fascinent. Ce qu'elles vous permettent de faire, ce qu'elles en éprouvent, ce qu'elles cherchent en fin de compte

(...)

L'esprit de Cornelia était déjà curieusement absent, elle avait fait le vide, tandis que son corps l'avait précédé dans une autre dimension, anticipant les désirs et les ordres de l'homme, jusqu'aux plus sadiques, elle était maintenant branchée sur la seule douleur potentielle qu'il pouvait choisir de lui infliger. Elle tenta de se souvenir de la première fois où elle avait pris conscience des racines de la soumission en elle, enfouies au plus secret de son âme. C'était au début de son adolescence, se rappelait-elle, après avoir lu Histoire d'O et dévoré plusieurs romans d'Anne Rice à la suite, s'imaginant par procuration aux mains de Maîtres et de tortionnaires, devenant leur esclave consentante, leur jouet sexuel ou pire encore. Les vagues de plaisir si bien cachés derrière le rideau de la décence se mirent à déferler avec une telle fureur, une telle force durable et un tel potentiel de merveilleux qu'elle en oublia les livres pour toujours. Son imagination avait pris le dessus et possédait désormais le pouvoir de créer des images, des actes, des situations qui allaient encore plus loin, selon elle, que les romans sadomasochistes qui n'avaient servi que de déclencheur à ses émotions sexuelles.

(...)

Il n'y avait que cette expérience pour réveiller vraiment ses sens. Très vite, elle comprit, elle sut qu'il s'agissait là d'une partie d'elle même qui devait rester À tout jamais cachée, et elle prit dès lors toutes les précautions possibles pour que les deux parties ne se rencontrent jamais.

(...)

Elle appartenait à deux mondes. Qui ne devaient jamais se rencontrer. Internet, avec ses univers troubles et cachés, et sa facilité de communication était une véritable aubaine. Une moitié d'elle même se rendait compte combien la rivière qu'elle traversait était dangereuse, mais son âme savait également combien il lui était impossible de vivre privée des épisodes de soumission, de douleurs et d'humiliation ... "

Maxim Jakubowski, Confessions d'un pornocrate romantique

06 janvier 2009

Pensée du jour


"On ne sais jamais au juste chez les femmes où cesse l'ange et où commence le démon."


Heinrich Heine

05 janvier 2009

Pensée du jour.


"Le plaisir le plus délicat est de faire celui d'autrui."

Jean de La Bruyère

04 janvier 2009

Andrew Kaiser




Pour découvrir le photographe Andrew Kaiser à votre tour, suivez ce lien : http://www.absoluterealitystudios.com/pages/gallery.php

Pensée du jour.


"On ne doit plus craindre les mots lorsqu'on a consenti aux choses."

Marguerite de Crayencour, dite Marguerite Yourcenar

03 janvier 2009

En silence ...

.. je travaille pour vous.

Oui, vous, mes lecteurs. Si je semble silencieuse c'est que je m'affaire à faire un peu de ménage ici. N'ayez crainte je n'effacerai rien de ce que j'ai écrit ici. Je passe simplement le balai dans le menu de droite. J'envoie aux ordures les liens morts. Je reclasse, rectifie, paufine. Tout cela pour me réapproprier mon blogue, me sentir à nouveau en plein contrôle de cet espace. Résolution de nouvelle année ?